16/11/2013

1 mort et 68 blessés lors de la vente de billets pour le match retour des barrages Algérie-Burkina Fasso


Nous apprenons que lors de la vente de billets pour le match retour des barrages Algérie-Burkina Fasso au stade Mustapha Tchaker de Blida il y a  eu bousculade et affrontement entre supporters
 Résultat des affrontements 1 mort et 68 blessés. 

Le président Bouteflika candidat du FLN pour la présidentielle 2014


Le président Bouteflika candidat du FLN pour la présidentielle 2014

Abdelaziz Bouteflika a été désigné par le FLN candidat à l'élection présidentielle prévue au printemps 2014. Il s'agirait d'un quatrième mandat pour le président algérien qui avait été hospitalisé en France en avril 2013 suite à un AVC.

Tigzirt Des habitants s’insurgent contre les homosexuels qui envahissent la ville


A travers une pétition signée par une centaine de personnes au moins, les habitants d’un quartier du coté Est de Tigzirt, une ville situé à 40 km au nord de la ville de Tizi-Ouzou, ont exprimé leur colère face aux groupes d’homosexuels qui ont circulent dans la ville.

Un réseau de trafique de billets de banque démantelé à Tigzirt




Nous apprenons qu’il y a près de 48 heures, les éléments de la sureté de daira de Tigzirt à 40 km au nord de la ville de Tizi-Ouzou ont démantelé un réseau de trafique de billets de banques.
Au total onze personnes ont été arrêté et une somme estimée à 26 millions de centimes de faux billets a été récupéré nous a-t-on informé.

15/11/2013

MOURAD HAMMAMI, RÉALISATEUR «Je veux filmer tous les maquisards de Kabylie»

Par

Mourad Hammami réalise des documentaires et des reportages sur la guerre d´Algérie en Kabylie, des portraits d´anciens maquisards de la Wilaya III, des reportages sur la vie de tous les jours dans les villages...Il a de nombreux projets mais peu de moyens. Il a beaucoup de volonté mais évolue dans un milieu plein d´adversité. Mais ses rêves lui donnent de la force. Il a décidé de continuer et il continue...
L´Expression: Qui est Mourad Hammami?
Mourad Hammami: Je suis un jeune de 34 ans. Je suis issu de la société profonde. Comme la majorité des jeunes de mon âge, je suis ambitieux, et je profite de l´énergie que me procure ma jeunesse pour mener plusieurs tâches à la fois.

Témoignage bouleversant du Moudjahid Salah Mekacher

Le Moudjahid Salah Mekacher vient de publier un livre, témoignage de la guerre de la Révolution nationale contre le colonialisme français.Dans ce livre publié à compte d’auteur, la nouveauté réside dans le style d’écriture et le contenu du témoignage.

Opération « Oiseau bleu » Un complot déjoué par les moudjahidine

Publié le 5 janvier 2013
 
Opération « Oiseau bleu » ou « Force K ». Un complot de l’administration coloniale, dirigée alors par Lacoste et Soustelle et qui consistait en la création et la mise en place d’un contre-maquis clandestin destiné à discréditer le FLN, en Kabylie.

Documentaire sur l'opération Oiseau bleu

Publié dans El Watan le 17 - 11 - 2008
 

Iguer n'Salem village martyr, est le titre d'un nouveau documentaire produit par Mizrana productions, une boite audiovisuelle privée basée dans la wilaya de Tizi Ouzou.

Deux nouveaux films documentaires sur l'histoire Mizrana Production

Publié dans El Watan le 10 - 09 - 2013

L'un de ces nouveaux films porte sur l'histoire de la région d'Azazga et l'autre sur Oujedouh, un martyr qui était aux premiers rangs lors du déclenchement de la guerre de libération.
Le jeune réalisateur Mourad Hammami, à travers son entreprise de communication Mizrana Production, vient d'enrichir son parcours dans le domaine de l'audiovisuel par deux nouveau films documentaires.

IL SERA PROJETÉ AUJOURD'HUI À TIZI OUZOU Les Martyrs reviennent à Ighil Bouzrou

Par
C'est aujourd'hui que sera projeté pour la première fois devant le public le documentaire de Mourad Hammami intitulé Les martyrs reviennent à Ighil Bouzrou. La projection est prévue donc aujourd'hui dimanche, à 14h, à la salle de spectacles de la Maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou.
Ighil Bouzrou est un village de près de 5000 habitants, relevant de la commune d'Ath Aïssi et distant d'une dizaine de kilomètres de la ville de Tizi Ouzou. C'est un village qui a énormément contribué à la Révolution algérienne de 1954 à 1962. Les 21 et 22 mai 2011, les habitants de ce village avaient décidé d'exhumer les corps de leurs martyrs enterrés dans divers endroits, et ce, durant le tumulte de la Guerre d'Algérie.

A L'INITIATIVE DE NOTRE CONFRÈRE MOURAD HAMMAMI Mizrana TV et Radio Mizrana sont nées

Par
La dernière initiative de ce jeune réalisateur est le lancement de nouveaux projets très ambitieux et en adéquation avec le développement technologique.
Notre confrère Mourad Hammami s'affirme de plus en plus dans son aventure dans le monde de l'audiovisuel. Depuis la création de la boîte Mizrana Production en 2006, ce jeune journaliste et réalisateur a parcouru les quatre coins de la Kabylie et d'autres régions de l'Algérie pour la réalisation de reportages de films documentaires et d'émissions TV ayant trait à différents sujets de la vie dans la société.



Ses produits de qualité ont été largement diffusés à travers des chaînes de TV nord- africaines basées en France, à l'exemple de Beur TV et Berbère Télévision, mais aussi dans le Web et la télévision algérienne.
La dernière initiative de ce jeune réalisateur est le lancement de nouveaux projets très ambitieux et en adéquation avec le développement technologique. Il s'agit d'une chaîne de télévision par Internet au nom de Mizrana TV (www.mizrana.tv). Dans ce même site, il y aura aussi une radio au nom de Radio Mizrana et une boutique Web.

Maison de la culture Projection d’un documentaire sur la Guerre d’Algérie



14 Décembre 2011
La maison de la culture Moulou-Mammeri de Tizi- Ouzou a abrité, avant-hier, l’avant-première d’un documentaire ayant pour thème la guerre d’Indépendance. Cette projection entre dans le cadre de la commémoration des manifestations du 11 Décembre 1961.

Aux PC de la Wilaya III, de Hadj Mekacher

Mourad Hammami :

Le Moudjahid Salah Mekacher vient de publier un livre, témoignage de la guerre de la Révolution nationale contre le colonialisme français.

Dans ce livre publié à compte d’auteur, la nouveauté réside dans le style d’écriture et le contenu du témoignage. Loin du style idéaliste consistant à présenter et à donner une image classique de cette longue guerre qui a opposé le peuple algérien à l’armée française. Habituellement, l’on présente l’ALN (Armée de libération nationale) comme étant le bloc soudé, homogène et idéal d’un côté, luttant contre l’armée française. Ce livre qui témoigne de la vie dans les maquis entre 1957 et 1962, apporte des vérités troublantes sur les phases cachées de la vie dans les rangs de l’ALN en plein combat pour l’indépendance.

Abane Ramdane : la part de vérité de Mansour Boudaoud

Abane Ramdane : la part de vérité de Mansour Boudaoud officier supérieur de l'ALN
jeudi 13 mars 2003, par ARRAMI MERABET stéphane

Mansour Boudaoud était officier supérieur de l'ALN ainsi que le responsable de l'armement et du ravitaillement général durant la Révolution de Libération Nationale. Durant son long combat, il a travaillé directement avec les principaux chefs historiques. Son témoignage sur Abane Ramdane apporte des éclairages sur l'assassinat du grand résistant algérien originaire de Kabylie. Des propos reccueillis par Mourad Hammami.


Ce moudjahid de la première heure, natif du village Taourga et de parents originaires du village Azrou-Bwar, dans la commune de Mizrana, dit avoir cessé toute activité politique au lendemain de l'indépendance nationale. Actuellement à la retraite, il s'est installé dans la ville côtière de Tigzirt.
Dans le sillage de la polémique déclenchée au sujet de la mort d'Abane Ramdane, son nom a été cité par M. Bentobal et par d'autres milieux comme une personnalité qui peut nous éclairer davantage sur cette affaire. Dans le souci d'informer le lecteur et de contribuer à la reconstitution des faits concernant cette affaire, nous avons jugé utile d'en savoir plus auprès de M. Boudaoud.

Qui est M. Mansour Boudaoud ?
Mansour Boudaoud : Je suis né en 1926. J'ai milité dès mon jeune âge en 1944 dans mon village natal Taourga au sein du PPA. En 1946, j'ai été à Alger où j'ai continué à militer dans le MTLD jusqu'à 1947 date à laquelle j'ai rejoint l'Organisation secrète et paramilitaire (OS), qui formait des sous-officiers pour le déclenchement de la Révolution armée.
En 1950, l'activité de l'OS a été suspendue, car il y avait beaucoup d'arrestations de responsables et de militants. Depuis, elle ne connaîtra plus de reprise. On s'est jamais vus et l'organisation a été démantelée ; on nous a demandé d'attendre les ordres. Ces derniers ne sont jamais venus jusqu'au déclenchement de la révolution en Tunisie, ensuite au Maroc.
Nous n'avons repris nos activités qu'après le déclenchement de la révolution du 1er Novembre 1954. J'ai été militart au sein du FLN dans les services de renseignement à Alger jusqu'à 1955. Et là le colonel Ouamrane, chef de la wilaya IV, qui était une région en ce moment-là, sachant que je connaissais bien le Maroc m'a désigné pour aller nous procurer des armes dans ce pays pour les envoyer à la région IV.
Arrivé au Maroc, nous n'avons pas trouvé d'armes du fait que les Marocains venaient à peine de recouvrer leur indépendance sous le règne de Mohammed II. On a commencé à s'organiser à Casablanca, Meknès, Rabat et à former des cellules du FLN. Nous avons collecté un million de centimes que nous avons envoyé au colonel Ouamrane par le biais d'un agent de liaison.

Arrivé à Alger, il a remis cette somme à Ouamrane, et ce dernier lui a dit : « Tu diras à Mohamed Arezki (on me nommait ainsi en ce temps-là), nous ne voulons pas d'argent, mais des armes. » Avant que l'agent de liaison ne revienne d'Alger, Boudiaf avait appris qu'il y avait une organisation qui s'est constituée au Maroc. Or, cette région dépendait de lui et il a demandé d'aller le voir à Tétouan.
Quand je suis parti, il m'a dit qu'il allait prendre contact avec Ouamrane et qu'il fallait continuer mon travail de récupération d'armes au Maroc sous sa responsabilité.
Il m'a chargé de cette mission et m'a recommandé de prendre contact avec l'Armée de libération du Maroc pour le transfert de djounoud, du moins les militaires incorporés dans l'armée française et qui avaient déserté et combattu avec l'Armée de libération marocaine, ainsi que les Algériens et autres volontaires qui voulaient combattre dans les rangs de la Révolution.
Ceux-là ont été transférés vers la wilaya V à Aïn Safra, sous la responsabilité du colonel Lotfi alors. Après le détournement de l'avion qui transportait les cinq frères de l'extérieur, Boudiaf, Aït Ahmed, Mechref, Ben Bella et Bitat, nous avons travaillé directement avec Boussouf, chef de la wilaya V. En 1958, j'ai été désigné à la tête de l'armement et du ravitaillement général à l'échelle nationale. En 1959, Mahmoud Cherif a été nommé ministre de l'Armement au sein du gouvernement provisoire jusqu'à 1960 quand un nouveau gouvernement a été installé. Par la suite, j'ai travaillé avec Boussouf, qui a repris l'armement en plus des services de transmission générale.


Dans la foulée de la polémique déclenchée au sujet de la mort d'Abane Ramdane, votre nom a été cité, notamment par M. Bentobal qui a déclaré : « J'ai été informé de la mort d'Abane par Krim Belkacem, Mahmoud Cherif et Mansour Boudaoud à leur retour à Tunis. » Quelle est votre réaction à ce sujet ?
Ma réaction est très simple. A l'époque, je ne connaissais pas Abdallah Bentobal, car j'ai quitté le Maroc. Après la réunion du CCE, à la mi-janvier 1958, j'étais en mission en Suisse (une affaire d'un bateau qui a été arraisonné par l'ennemi) et de là, je suis allé au Caire. C'est à ce moment-là que Boussouf m'avait présenté Bentobal.
Donc je ne vois pas comment j'aurais pu l'informer de la mort d'Abane. Pour moi, Abane était vivant et quand je suis arrivé au Caire, j'ai constaté son absence et j'ai vu tout le monde en peine. Je commençais à m'inquiéter car Abane était un ami, d'ailleurs j'ai longuement discuté avec lui avant.
Maintenant pour Si Abdallah soit qu'il a perdu la mémoire vu son âge ou qu'il me confond avec quelqu'un d'autre. Au retour, je doutais. Je me suis dis qu'Abane est peut-être resté en Tunisie pour des affaires courantes.

Je ne sais pas. J'avais l'espoir de le rencontrer, de le retrouver. Arrivé à Tunis, des amis m'ont informé qu'Abane était parti au Maroc. J'étais inquiet et suis parti voir Krim dans son département de guerre. Il m'a donné rendez-vous pour le soir et il m'a envoyé quelqu'un me chercher.
Quand je suis arrivé là-bas, j'ai posé brutalement la question à Krim : « Il n'y a plus de nouvelles d'Abane. Pense-tu qu'on l'a tué ? » Il m'a répondu : « Oui, on l'a tué ! »

En tant qu'ami d'Abane, comment pouvez-vous nous décrire sa personnalité ?
Je n'ai pas connu Abane en Algérie, je l'ai connu quand il est sorti d'Alger et qu'il était de passage au Maroc à Tétouan. C'est là-bas que je l'avais rencontré, mais lui, il avait l'air de bien me connaître.
On a discuté et on est restés ensemble pendant pratiquement deux heures. Notre discussion s'est articulé autour de la Révolution, de sa théorie, etc. Cet homme m'a impressionné par son calme, sa vision de la Révolution et ses analyses de l'avenir. C'est tout ce que je peux dire de lui.
Maintenant, en discutant avec des gens qui ont travaillé avec lui, ils me l'ont toujours présenté comme un géant et un théoricien de grande valeur de la Révolution algérienne.

Et pourtant, d'autres personnalités ont porté atteinte à sa mémoire telles que Bentobal qui a dit qu'« il méritait plus que la mort » ou Ben Bella qui l'accuse de traître. Quelle en est votre réaction ?
Vous savez, il est difficile de juger les gens quarante ou cinquante ans après, car nous n'avons pas de données ; jusqu'à maintenant, sa mort reste obscure.
Les acteurs qui ont le devoir d'informer ne l'ont pas fait, et ce qui m'étonne, c'est que ces mêmes personnes ont publié un article sur sa mort disant qu'il a été tué au champ d'honneur. Aujourd'hui, après quarante ans, ils veulent le tuer une deuxième fois en l'accusant de choses que nous ignorons et qui auraient peut-être d'après eux touché à la Révolution. Le congrès de la Soummam avait défini dans son règlement intérieur les cas où on peut exécuter une personne. Pourquoi on l'exécute clandestinement, sans tribunal, sans jugement ? Si vous voulez, c'est une affaire qui reste dans l'esprit de tous les patriotes sincères comme un crime.

Comment voyez-vous le Congrès de la Soummam ?
Pour le congrès de la Soummam, d'abord je n'étais pas là. J'étais à l'extérieur, mais en tant que responsable, j'avais accueilli cet événement avec une joie immense. C'est la première fois, depuis le déclenchement de la guerre, qu'une plate-forme est venue unifier les rangs de l'ALN et du FLN et déterminer les tâches de tout un chacun. Mais un problème s'est posé juste après, surtout en ce qui concerne la primauté de l'intérieur sur l'extérieur et du politique sur le militaire, que beaucoup n'ont pas appréciée et que personnellement j'ai bien accueillie. Mais à mon avis, tout cela était la lutte de chefs.


Quelle est votre appréciation de l'écriture actuelle de l'histoire de la Révolution nationale ?
L'histoire de l'Algérie est en train de s'écrire. Maintenant bien ou mal écrite, chacun donnera son appréciation selon sa vision des choses. Des Algériens écrivent, des Français aussi, bonne ou mauvaise, l'histoire doit être écrite.
Actuellement, ce sont les acteurs qui l'écrivent, mais je crois que ce sont les historiens qui doivent s'en charger. Si j'ai à donner un avis à cette jeunesse qui s'intéresse à l'histoire, c'est de s'inquiéter, de s'informer et d'essayer de la rétablir dans sa vraie version pour que les générations à venir apprennent les évènements réels. L'histoire ne s'écrit pas en quelques jours, mais pendant des années.

Quelle est votre conclusion ?
En politique, c'est difficile de tirer une conclusion. On ne peut que constater. Mais s'il y a un avis à donner, tout ce que nous avons vécu pendant la guerre est pratiquement devenu minime par rapport à ce que nous vivons aujourd'hui. Espérant qu'un jour l'Algérie finira par trouver une issue à ses problèmes et que le peuple vivra dans la sécurité.

M. H.

iflisen : un film sur iger n salem

Iflissen - Un film documentaire sur le village Iguer N’Salem
L’agence de communication Mizrana Production, en collaboration avec le comité de village Iguer N’Salem dans la commune d’Iflissen, à une vingtaine de km de la ville de Tigzirt, ont lancé un projet d’un film documentaire relatif aux événements douloureux vécus par ce village durant la guerre d’Algérie.Le film serait d’une durée de 52 mn. Il relatera la répression et les actions d’héroïsme des habitants de ce village durant la révolution Algérienne. A signaler que le village Iguer N’Salem est considéré comme le véritable épicentre de la célèbre opération « Oiseau Bleu », dont le principale héros et Omar Toumi, un enfant de ce village. Cette histoire raconte comment les maquisards de la Kabylie ont su déjouer et instrumentalisé le complot visant à anéantir la révolution. Ledit complot a été orchestré par Robert Lacoste.

Tigzirt entre ciel et terre. Un documentaire de Mourad Hammami


L’antique Iomnium en images
Tigzirt entre ciel et terre. Tel est le titre du film documentaire réalisé récemment par Mourad Hammami. Il s’agit de sa première expérience en matière de réalisation. Le film en question est un voyage à travers lequel il est mis en lumière les potentialités touristiques, les trésors archéologiques, la richesse culturelle, les traditions populaires de Tigzirt, l’antique Iomnium. 

Pétition pour l'amélioration des conditions de soins en Algérie

Vendredi 5 juillet 2013

Nous, citoyens Algériens, conscients de la gravité de la situation dans nos hôpitaux, rappelons la nécessité d’une mobilisation massive de la population afin de réclamer une meilleure prise en charge de nos malades, de meilleures conditions de soins ; il s’agit là de dignité humaine, prioritaire dans toute société moderne.


Un nouveau documentaire de Mourad Hammami Les martyrs reviennent à Ighil Bouzrou

Publié le 03/11/2011 à 04:16 - 973 visites
Source : elwatan
Un nouveau documentaire de Mourad Hammami Les martyrs reviennent à Ighil Bouzrou
Dans ce produit réalisé en collaboration avec l’association le Flambeau et le comité de village, on trouve essentiellement des témoignages des moudjahidine de la région.

Entretien avec le résalisateur Mourad Hammami





18 juin, 2013
Depuis plus de dix ans, Mourad Hammami, qui vit à Tigzirt dans la wilaya de Tizi Ouzou, ne cesse de s’adonner à sa passion. Il s’est investi à cœur joie dans le domaine de l’audiovisuel. Après avoir produit un documentaire pour promouvoir sa ville à vocation touristique, «Tigzirt, entre ciel et mer», Mourad Hammami s’est intéressé à plusieurs sujets avant de se pencher sur la guerre de Libération nationale en tendant le micro aux anciens maquisards qui ont libéré notre pays du joug colonial. Mourad Hammami est aussi le réalisateur de documentaires sur les chouhada et chefs de guerre Amar Bessalah, dit Amar El Bass, El Mohab dit Oujedouh et bien d’autres.

Le massacre Turque contre le village Ait Said




Suite à la non soumission au diktat du pouvoir turque. Suite au refus de payer injustement les impôts imposés et l’accessibilité à la forêt de Mizrana, pour l’extraction du bois et du liège, le pouvoir turque a organisé le 29 mai 1825 une expédition punitive contre le village Ait Said. Ça été une attaque sauvage, complice et calculée qui a provoqué la mort de plus de 300 personnes des citoyens du village Ait Said.