Par Ameziane Athali
Le chef de sûreté de la wilaya de Tizi Ouzou par intérim, Djamel
Louli( sur la photo) est depuis mardi dernier hospitalisé au CHU Nédir
Mohamed de la ville à la suite d’un malaise cardiovasculaire, a appris Algerie1 de sources médicales.
Depuis il est soumis à des soins intensifs au service de réanimation
en attendant son transfert vers l’hôpital central de l’armée de Ain
Naadja et probablement aussi vers l’étranger, selon la même source.
Djamel Louli vient tout juste d’être installé chef de sûreté par
intérim en remplacement du chef de sûreté de la wilaya de Tizi Ouzou de
Moussa Belabès, il y a un mois.
source: http://www.algerie1.com
23/11/2013
Alger au XVIIIe siècle : Cabaïlis de Flissa et de Zevawa
Par: Jean Michel de Venture de Paradis
La plupart des montagnes, depuis le
royaume de Sous jusqu’à la plaine du kairoan, sont peuplées de nations
indépendantes. Alger en a deux fameuses qu’il n’a jamais pu soumettre :
les Cabaïlis de Flissa [1] et ceux de Zevawa [2].
Les montagnes de Flissa règnent depuis Dellis jusqu’au Collo ; celles
de Zevawa sont plus au midi. Les Zevawis ont près de 300 villages ; ils
ne payent ni tribut, ni capitation, mais ils se font entre eux une
guerre extrême et ne se réunissent que ; contre l’ennemi commun. Ils
viennent cependant à Alger et ils y forment même un corps de nation qui a
des privilèges ; ils sont chargés d’une patrouille nocturne. Flissa est
régie aussi par des chaïks particuliers.
Les Cabaïlis semblent tenir une place intermédiaire entre les hordes sauvages et les nations civilisées. Ils professent la religion mahométane sans entendre cependant l’Alcoran. La plupart ne savent que leur langue très pauvre, très bornée et n’ayant aucun terme abstrait. A peine savent-ils compter jusqu’à mille, ils n’ont point de livres, ni d’écriture ; la mémoire des événements ne s’y conserve que par tradition. Les montagnes inaccessibles dans lesquelles ils vivent les mettent à l’abri des vexations des Turcs, mais entre eux ils se font des guerres éternelles, le plus faible se fait soutenir par le commandant turc le plus voisin, qui profite de ces divisions pour les dévorer. Leur haine est implacable et n’est assouvie que par le sang.
Jean Michel de Venture de Paradis, Tunis et Alger au XVIIIe siècle
source: http://www.kabyles.eu
Les Cabaïlis semblent tenir une place intermédiaire entre les hordes sauvages et les nations civilisées. Ils professent la religion mahométane sans entendre cependant l’Alcoran. La plupart ne savent que leur langue très pauvre, très bornée et n’ayant aucun terme abstrait. A peine savent-ils compter jusqu’à mille, ils n’ont point de livres, ni d’écriture ; la mémoire des événements ne s’y conserve que par tradition. Les montagnes inaccessibles dans lesquelles ils vivent les mettent à l’abri des vexations des Turcs, mais entre eux ils se font des guerres éternelles, le plus faible se fait soutenir par le commandant turc le plus voisin, qui profite de ces divisions pour les dévorer. Leur haine est implacable et n’est assouvie que par le sang.
Jean Michel de Venture de Paradis, Tunis et Alger au XVIIIe siècle
source: http://www.kabyles.eu
Kabylie: en route vers Fort-National mars 1884
A six heures du matin, me voici de
nouveau en voiture. J’ai trouvé un compagnon de voyage, M. J..., avocat
au barreau de Bordeaux, qui vient chercher dans ce pays du soleil et de
la lumière l’oubli momentané des brumes de la Garonne. Son itinéraire
coïncide avec le mien pour quelques jours ; nous sommes enchantés l’un
et l’autre de pouvoir échanger nos impressions et tromper la monotonie
des routes trop longues par d’agréables causeries.
En moins d’une demi-heure nous arrivons à l’oued Aïssi, qu’il faut franchir à gué. Nous apercevons bien un pont, jeté sur la rivière à quelques centaines de mètres en amont, et nous pourrions supposer, si nous parcourions tout autre pays du monde, qu’il est destiné à permettre le passage entre les deux rives. Mais nous sommes en Algérie, où les choses ne se passent pas comme ailleurs.
Un hiver, il y a déjà plusieurs années, à la suite de pluies abondantes, l’oued Aïssi s’est permis de livrer passage dans son lit à une quantité d’eau plus considérable que les Ponts et Chaussées ne l’y avaient autorisé ; il a même poussé le mépris de l’administration jusqu’à emporter les talus et les rampes d’accès au pied desquels il aurait dû docilement couler. Est-ce pour punir le fleuve révolté, ou bien par manque de temps et d’argent ? Je l’ignore. Quoi qu’il en soit, aucune réparation n’a été faite. Le pont construit à grands frais élève au milieu de l’eau ses belles arches de pierre, isolées de toute communication avec les rives, et les malheureux voyageurs passent comme ils peuvent et quand ils peuvent. La rivière, grossie par des pluies récentes, se répand dans un lit large de près d’un kilomètre et se partage en sept ou huit bras. Si la crue, déjà très-forte, l’avait été davantage, le passage présenterait de sérieux dangers et serait peut-être impraticable.
En arrivant sur la berge, nous voyons une troupe de Kabyles accourir à notre rencontre. Ils sont placés là par l’administration pour aider au passage des voitures. Dans l’eau jusqu’aux genoux, les burnous retroussés sous les cuisses, ils galopent en avant et de chaque côté de la voiture, indiquant le meilleur passage et prêts à prévenir tout accident. Dans le bras principal nos roues enfoncent jusqu’aux moyeux ; les chevaux tirent sur les traits à les rompre ; le cocher frappe de son fouet à tour de bras. Enfin, le mauvais pas est dépassé, et, cahin-caha, nous atteignons l’autre rive sans encombre.
A partir de l’oued Aïssi, la route s’élève par une série de plateaux successifs sur lesquels elle forme des lacets pleins de hardiesse. Nous sentons que nous laissons derrière nous la Basse-Kabylie, la Kabylie de la plaine, et que nous entrons définitivement dans la montagne. Après avoir dépassé une prairie où les troupes qui se rendent à Fort-National, ou qui en reviennent, s’arrêtent pour la grand ‘halte, nous abandonnons la voiture, qui s’élève par degrés sur des pentes sinueuses et fort roides, et nous nous engageons à pied dans des raccourcis, charmants petits sentiers kabyles tracés le long des crêtes, au milieu d’une véritable forêt d’oliviers séculaires. Nous croisons des groupes d’indigènes en burnous blanc et fez rouge qui se rendent au marché, les uns à pied, les autres montés sur des ânes ou des mulets. […]
Riches et pauvres ont le même accoutrement, et ce n’est pas ici que les vêtements, et ce n’est pas ici que les vêtements peuvent servir à établir les distinctions sociales.
La montagne que nous escaladons se compose, comme toutes les montagnes voisines, d’une série de mamelons pointus dont chaque sommet domine le précédent. Elle a été le théâtre des luttes sanglantes de 1857 et de 1871.
Sur notre gauche, nous apercevons le village d’Ighil-Guéfri, que, le 21 mai 1857, au lever du soleil, le général Yousouf montrait de la plaine au maréchal Randon en lui disant : « C’est là qu’à sept heures du matin vous fumerez votre cigare » Et il l’enleva, en effet, après un combat acharné. A mesure qu’on s’élève, on peut se rendre compte des difficultés inouïes qu’eut à surmonter l’armée française pour emporter d’assaut les trois chaînes en éventail qui se réunissent à Fort-National. Chaque mamelon était garni d’intrépides défenseurs, retranchés dans un village, qui luttaient pour leur indépendance, maintenue jusqu’alors à travers les siècles contre tous les envahisseurs. On comprend que la victoire ait été chèrement achetée.
[…] Toute la chaîne que nous gravissons a été défendue pied à pied par les Kabyles ; il n’y a pas un arbre, pas une touffe de cactus qui n’ait abrité un tirailleur. Un vieil olivier, le tronc traversé par un obus, est encore débouta côté du chemin, comme un souvenir vivant de cette terrible époque.
L’aimable colon qui nous accompagne nous raconte alors le siège de Fort-National, auquel il a pris part ; […]
Une nuée de Kabyles, tous les hommes valides des tribus environnantes, garnissaient les hauteurs qui dominent la ville, et tiraient nuit et jour sur les assiégés. Notre compagnon de route nous décrit les tranchées creusées par les révoltés, et arrivant presque jusqu’aux remparts, et les-deux vieux canons turcs, sans affûts, mis en batterie par d’anciens tirailleurs et lançant leurs boulets impuissants contre les solides murailles du fort. Il nous fait assister à la sortie du 12 mai, dans laquelle le capitaine Ravez culbuta tous les ennemis qu’il put approcher, et à l’assaut que les Français soutinrent dans la nuit du 21 au 22 : les bandes furieuses des Kabyles se ruaient contre la forteresse avec une rage indescriptible ; pendant une nuit et un jour, il fallut défendre les remparts contre ces forcenés, qui revenaient plus nombreux chaque fois qu’ils avaient été repoussés. […]
Fort-National, 15 mars 1884
par Ernest Fallot, Par-delà la Méditerranée,1887
source: http://www.kabyles.eu
En moins d’une demi-heure nous arrivons à l’oued Aïssi, qu’il faut franchir à gué. Nous apercevons bien un pont, jeté sur la rivière à quelques centaines de mètres en amont, et nous pourrions supposer, si nous parcourions tout autre pays du monde, qu’il est destiné à permettre le passage entre les deux rives. Mais nous sommes en Algérie, où les choses ne se passent pas comme ailleurs.
Un hiver, il y a déjà plusieurs années, à la suite de pluies abondantes, l’oued Aïssi s’est permis de livrer passage dans son lit à une quantité d’eau plus considérable que les Ponts et Chaussées ne l’y avaient autorisé ; il a même poussé le mépris de l’administration jusqu’à emporter les talus et les rampes d’accès au pied desquels il aurait dû docilement couler. Est-ce pour punir le fleuve révolté, ou bien par manque de temps et d’argent ? Je l’ignore. Quoi qu’il en soit, aucune réparation n’a été faite. Le pont construit à grands frais élève au milieu de l’eau ses belles arches de pierre, isolées de toute communication avec les rives, et les malheureux voyageurs passent comme ils peuvent et quand ils peuvent. La rivière, grossie par des pluies récentes, se répand dans un lit large de près d’un kilomètre et se partage en sept ou huit bras. Si la crue, déjà très-forte, l’avait été davantage, le passage présenterait de sérieux dangers et serait peut-être impraticable.
En arrivant sur la berge, nous voyons une troupe de Kabyles accourir à notre rencontre. Ils sont placés là par l’administration pour aider au passage des voitures. Dans l’eau jusqu’aux genoux, les burnous retroussés sous les cuisses, ils galopent en avant et de chaque côté de la voiture, indiquant le meilleur passage et prêts à prévenir tout accident. Dans le bras principal nos roues enfoncent jusqu’aux moyeux ; les chevaux tirent sur les traits à les rompre ; le cocher frappe de son fouet à tour de bras. Enfin, le mauvais pas est dépassé, et, cahin-caha, nous atteignons l’autre rive sans encombre.
A partir de l’oued Aïssi, la route s’élève par une série de plateaux successifs sur lesquels elle forme des lacets pleins de hardiesse. Nous sentons que nous laissons derrière nous la Basse-Kabylie, la Kabylie de la plaine, et que nous entrons définitivement dans la montagne. Après avoir dépassé une prairie où les troupes qui se rendent à Fort-National, ou qui en reviennent, s’arrêtent pour la grand ‘halte, nous abandonnons la voiture, qui s’élève par degrés sur des pentes sinueuses et fort roides, et nous nous engageons à pied dans des raccourcis, charmants petits sentiers kabyles tracés le long des crêtes, au milieu d’une véritable forêt d’oliviers séculaires. Nous croisons des groupes d’indigènes en burnous blanc et fez rouge qui se rendent au marché, les uns à pied, les autres montés sur des ânes ou des mulets. […]
Riches et pauvres ont le même accoutrement, et ce n’est pas ici que les vêtements, et ce n’est pas ici que les vêtements peuvent servir à établir les distinctions sociales.
La montagne que nous escaladons se compose, comme toutes les montagnes voisines, d’une série de mamelons pointus dont chaque sommet domine le précédent. Elle a été le théâtre des luttes sanglantes de 1857 et de 1871.
Sur notre gauche, nous apercevons le village d’Ighil-Guéfri, que, le 21 mai 1857, au lever du soleil, le général Yousouf montrait de la plaine au maréchal Randon en lui disant : « C’est là qu’à sept heures du matin vous fumerez votre cigare » Et il l’enleva, en effet, après un combat acharné. A mesure qu’on s’élève, on peut se rendre compte des difficultés inouïes qu’eut à surmonter l’armée française pour emporter d’assaut les trois chaînes en éventail qui se réunissent à Fort-National. Chaque mamelon était garni d’intrépides défenseurs, retranchés dans un village, qui luttaient pour leur indépendance, maintenue jusqu’alors à travers les siècles contre tous les envahisseurs. On comprend que la victoire ait été chèrement achetée.
[…] Toute la chaîne que nous gravissons a été défendue pied à pied par les Kabyles ; il n’y a pas un arbre, pas une touffe de cactus qui n’ait abrité un tirailleur. Un vieil olivier, le tronc traversé par un obus, est encore débouta côté du chemin, comme un souvenir vivant de cette terrible époque.
L’aimable colon qui nous accompagne nous raconte alors le siège de Fort-National, auquel il a pris part ; […]
Une nuée de Kabyles, tous les hommes valides des tribus environnantes, garnissaient les hauteurs qui dominent la ville, et tiraient nuit et jour sur les assiégés. Notre compagnon de route nous décrit les tranchées creusées par les révoltés, et arrivant presque jusqu’aux remparts, et les-deux vieux canons turcs, sans affûts, mis en batterie par d’anciens tirailleurs et lançant leurs boulets impuissants contre les solides murailles du fort. Il nous fait assister à la sortie du 12 mai, dans laquelle le capitaine Ravez culbuta tous les ennemis qu’il put approcher, et à l’assaut que les Français soutinrent dans la nuit du 21 au 22 : les bandes furieuses des Kabyles se ruaient contre la forteresse avec une rage indescriptible ; pendant une nuit et un jour, il fallut défendre les remparts contre ces forcenés, qui revenaient plus nombreux chaque fois qu’ils avaient été repoussés. […]
Fort-National, 15 mars 1884
par Ernest Fallot, Par-delà la Méditerranée,1887
source: http://www.kabyles.eu
La Grande mosquée d’Alger : un trou noir budgétaire de 1,5 milliard de dollars
La Grande mosquée
d’Alger et ses annexes (bibliothèque, musée, etc.) devraient coûter 1,5
milliards de dollars, soit 2% du total des revenus des exportations
algériennes (73,98 milliards de dollars en 2012) et les trois quarts de
ses maigres exportations hors-hydrocarbures (2,18 milliards de dollars
en 2012).
Canada:: Arrestation de l’assassin du chauffeur de taxi algérien
L’auteur de l’assassinat dont a été victime le chauffeur de taxi
algérien au Canada, Ziad Bouzid (45ans), a été placé, vendredi, en
détention à l’issue de son audition au Palais de justice de Montréal qui
l’accuse de meurtre non prémédité. Il comparaitra de nouveau le 23
janvier prochain.
En effet, le mis en cause Michel Duchaussoy avait été interpellé, jeudi soir, dans un secteur industriel de Boucherville par la police de Longueuil (Montréal).
Cet individu dangereux, qui ne présente aucun problème psychiatrique, a assassiné la victime avec un fusil de chasse.
Pour l’interpeller, 200 policiers ont été mobilisés avant d’engager une véritable chasse à l’homme pendant toute la journée du jeudi.
L’arme du crime, un fusil à pompe, a été récupérée après l’arrestation du criminel rendue possible aussi grâce à une femme d’une cinquantaine d’années, une connaissance de Duchaussoy.
S’agissant du mobile du crime, rien n’a filtré pour le moment et la thèse du vol qui a mal tourné, en raison du refus du chauffeur d’obtempérer est exclue.
L’auteur du crime et la victime ne se connaissaient pas et la seule coïncidence que c’était la victime qui avait répondu à l’appel pour déplacer le client qui n’était autre que son assassin.
Selon la police montréalaise, “c’est le suspect lui-même qui aurait téléphoné chez Taxi Diamond en fin de soirée mardi pour réclamer un taxi au Tim Hortons du boulevard de la Côte-de-Liesse, à Dorval. Vers minuit 15, il aurait abattu Ziad Bouzid au volent d’un taxi de ladite compagnie à Montréal d’une décharge avec son arme”.
source: http://www.algerie360.com
En effet, le mis en cause Michel Duchaussoy avait été interpellé, jeudi soir, dans un secteur industriel de Boucherville par la police de Longueuil (Montréal).
Cet individu dangereux, qui ne présente aucun problème psychiatrique, a assassiné la victime avec un fusil de chasse.
Pour l’interpeller, 200 policiers ont été mobilisés avant d’engager une véritable chasse à l’homme pendant toute la journée du jeudi.
L’arme du crime, un fusil à pompe, a été récupérée après l’arrestation du criminel rendue possible aussi grâce à une femme d’une cinquantaine d’années, une connaissance de Duchaussoy.
S’agissant du mobile du crime, rien n’a filtré pour le moment et la thèse du vol qui a mal tourné, en raison du refus du chauffeur d’obtempérer est exclue.
L’auteur du crime et la victime ne se connaissaient pas et la seule coïncidence que c’était la victime qui avait répondu à l’appel pour déplacer le client qui n’était autre que son assassin.
Selon la police montréalaise, “c’est le suspect lui-même qui aurait téléphoné chez Taxi Diamond en fin de soirée mardi pour réclamer un taxi au Tim Hortons du boulevard de la Côte-de-Liesse, à Dorval. Vers minuit 15, il aurait abattu Ziad Bouzid au volent d’un taxi de ladite compagnie à Montréal d’une décharge avec son arme”.
source: http://www.algerie360.com
22/11/2013
19 morts pour fêter le mondial : après la joie le deuil
Omrane, Athmane, Kamel et les autres ne verront jamais la Coupe du monde. Ils font partie des 19 victimes lors des manifestations de joie d’après-match. Alors que le Premier ministre fait des rapprochements entre qualification et 4e mandat, le gouvernement n’a adressé aucune condoléance aux familles.
Tipasa : Athmane, 12 ans, meurt écrasé par une fourgonnette
Athmane Mostefaoui, 12 ans, respirait la vie. Dès le coup de sifflet final du match Algérie-Burkina Faso, le petit basketteur s’est précipité avec l’emblème national pour laisser éclater sa joie dans la rue, fêter la qualification de son pays pour le prochain Mondial du football au Brésil, à l’instar de ses compatriotes. Le destin a voulu qu’il perde sa vie dans la rue, sous les pneus d’une camionnette de marque japonaise. Le véhicule était conduit par un autre jeune dont la famille vit à Hadjret Ennous, paisible localité côtière située près de la centrale électrique Lavalin.
Klaxons, youyous et cris hystériques se mêlaient dans une atmosphère de fête. Athmane décide alors de grimper à l’arrière de la camionnette, alors qu’une grappe humaine s’accroche des deux côtés de la petite benne de la camionnette. Suite à une manœuvre du chauffeur qui ne voulait pas transporter tous ces supporters enveloppés de l’emblème national, Athmane, perdant l’équilibre, glisse alors sous le véhicule. Blessé par une roue, il succombera après une nouvelle marche arrière. Sa mère, qui assiste à la scène, crie de toutes ses forces, en vain, pour prévenir le conducteur. Athmane s’était engagé dans le basket-ball depuis 2010 avec l’équipe de Hadjret Ennous. Le 1er novembre dernier, avec la sélection U12 de la wilaya de Tipasa, il avait participé au tournoi interligues à Sétif. La semaine passée, avec l’équipe benjamine de sa ville, il avait joué son dernier match dans un tournoi, à Ahmeur El Aïn. Les habitants de l’ex-Fontaine du Génie sont sous le choc.
-Béjaïa : quatre jeunes tués dans un accident de voiture près d’Akbou
Un accident de la circulation a coûté la vie à quatre personnes dans la soirée de mardi à mercredi sur la RN26, au lieudit Azaghar, à la sortie d’Akbou, à 70 km au sud-ouest de Béjaïa. Les passagers d’un véhicule léger sont morts sur le coup après une collision avec un semi-remorque qui roulait en sens inverse. La puissance du choc était telle que la Protection civile n’a pu identifier que deux victimes parmi les quatre évacuées vers l’hôpital : Kamel Lahdiri, 33 ans, chanteur, et Fatah Ibelaiden, 29 ans. Selon les habitants d’Akbou, Hichem et Ghasset, les deux autres victimes, étaient lycéens.
-Biskra : un camion de supporters percute un groupe de fans
Le drame le plus tragique a eu lieu dans la nuit de mardi à mercredi à Tolga, à 38 km au sud-ouest de Biskra, où un camion chargé de supporters a percuté un groupe de fans. Quatre passagers âgés de 13 à 26 ans ont péri sur le coup. Une cinquième victime a succombé à ses blessures mercredi matin, à l’hôpital de Tolga. Dans la même nuit, à Aïn Naga, à 65 km de Biskra, un jeune de 26 ans, roulant à vive allure, a perdu la vie suite au renversement de son véhicule. A Guelma, parmi les supporters sortis en masse dans les rues, suite à une bagarre autour d’un carte mémoire de téléphone, un supporter de 19 ans a reçu un coup de couteau mortel au thorax à la cité DNC, sur les hauteurs de la ville.
La victime succombera à ses blessures mercredi à 3h du matin à l’hôpital Docteur Okbi de Guelma. A Constantine et à Mila, deux personnes ont été terrassées par une crise cardiaque durant le match, alors qu’après le coup de sifflet final, à Annaba, un jeune homme de 17 ans a trouvé la mort à bord d’une Renault Clio lors d’une collision avec un autre véhicule de type Chevrolet au rond-point de la cité Boukhadra. Même sort pour un homme de 60 ans, qui a péri suite à une chute d’une camionnette au quartier la Zaouïa, à Tébessa. Les urgences des hôpitaux de plusieurs villes à l’Est se sont retrouvées débordées, ce qui a nécessité la mobilisation d’équipes supplémentaires. Le bilan de la Protection civile et des structures sanitaires à Constantine, Annaba, Skikda, Biskra, Guelma, Jijel et Tébessa fait état, en une seule nuit, de plus de 200 blessés, victimes de chutes, de collisions entre véhicules et d’agressions à l’arme blanche.
-Médéa : Omrane, 29 ans, se tue en tombant d’un camion
La modeste famille Saâdaoui, du quartier Oued Zitoune, ne s’attendait guère à un tel malheur. En ce mardi plein de joie, Omrane, 29 ans, père d’un enfant de 2 ans, s’est tué en tombant d’un camion sur lequel il défilait. Il laisse un orphelin mais aussi une épouse, une mère et quatre sœurs. Après la mort de son père, c’est lui qui prenait prendre en charge toute sa famille, qui avait trouvé refuge dans un abri de fortune dans le quartier périphérique de Médéa. Tout le voisinage est consterné par la perte de Omrane, qui «travaillait durement pour subvenir aux besoins des siens.» Cinq autres jeunes de 14 ans à 21 ans ont également été blessés et retenus à l’hôpital Mohamed Boudiaf de Médéa. Sept accidents de la circulation ont fait cinq blessés à Médéa, Ksar El Boukhari, Benchicao et El Omaria.
-Mostaganem : un jeune de 16 ans meurt sur la route
Un jeune homme de 16 ans, originaire du douar Merzouka (Kheir Eddine) a trouvé la mort dans un accident. Un véhicule utilitaire a percuté le fourgon à bord duquel il se trouvait avec des amis, pour fêter la victoire des Verts. Le fourgon s’est renversé au rond-point de Sidi Othman (Sayada) à quelques kilomètres de Mostaganem. La Gendarmerie a ouvert une enquête pour déterminer les causes de l’accident, qui a en outre causé 7 blessés graves.
Athmane Mostefaoui, 12 ans, respirait la vie. Dès le coup de sifflet final du match Algérie-Burkina Faso, le petit basketteur s’est précipité avec l’emblème national pour laisser éclater sa joie dans la rue, fêter la qualification de son pays pour le prochain Mondial du football au Brésil, à l’instar de ses compatriotes. Le destin a voulu qu’il perde sa vie dans la rue, sous les pneus d’une camionnette de marque japonaise. Le véhicule était conduit par un autre jeune dont la famille vit à Hadjret Ennous, paisible localité côtière située près de la centrale électrique Lavalin.
Klaxons, youyous et cris hystériques se mêlaient dans une atmosphère de fête. Athmane décide alors de grimper à l’arrière de la camionnette, alors qu’une grappe humaine s’accroche des deux côtés de la petite benne de la camionnette. Suite à une manœuvre du chauffeur qui ne voulait pas transporter tous ces supporters enveloppés de l’emblème national, Athmane, perdant l’équilibre, glisse alors sous le véhicule. Blessé par une roue, il succombera après une nouvelle marche arrière. Sa mère, qui assiste à la scène, crie de toutes ses forces, en vain, pour prévenir le conducteur. Athmane s’était engagé dans le basket-ball depuis 2010 avec l’équipe de Hadjret Ennous. Le 1er novembre dernier, avec la sélection U12 de la wilaya de Tipasa, il avait participé au tournoi interligues à Sétif. La semaine passée, avec l’équipe benjamine de sa ville, il avait joué son dernier match dans un tournoi, à Ahmeur El Aïn. Les habitants de l’ex-Fontaine du Génie sont sous le choc.
-Béjaïa : quatre jeunes tués dans un accident de voiture près d’Akbou
Un accident de la circulation a coûté la vie à quatre personnes dans la soirée de mardi à mercredi sur la RN26, au lieudit Azaghar, à la sortie d’Akbou, à 70 km au sud-ouest de Béjaïa. Les passagers d’un véhicule léger sont morts sur le coup après une collision avec un semi-remorque qui roulait en sens inverse. La puissance du choc était telle que la Protection civile n’a pu identifier que deux victimes parmi les quatre évacuées vers l’hôpital : Kamel Lahdiri, 33 ans, chanteur, et Fatah Ibelaiden, 29 ans. Selon les habitants d’Akbou, Hichem et Ghasset, les deux autres victimes, étaient lycéens.
-Biskra : un camion de supporters percute un groupe de fans
Le drame le plus tragique a eu lieu dans la nuit de mardi à mercredi à Tolga, à 38 km au sud-ouest de Biskra, où un camion chargé de supporters a percuté un groupe de fans. Quatre passagers âgés de 13 à 26 ans ont péri sur le coup. Une cinquième victime a succombé à ses blessures mercredi matin, à l’hôpital de Tolga. Dans la même nuit, à Aïn Naga, à 65 km de Biskra, un jeune de 26 ans, roulant à vive allure, a perdu la vie suite au renversement de son véhicule. A Guelma, parmi les supporters sortis en masse dans les rues, suite à une bagarre autour d’un carte mémoire de téléphone, un supporter de 19 ans a reçu un coup de couteau mortel au thorax à la cité DNC, sur les hauteurs de la ville.
La victime succombera à ses blessures mercredi à 3h du matin à l’hôpital Docteur Okbi de Guelma. A Constantine et à Mila, deux personnes ont été terrassées par une crise cardiaque durant le match, alors qu’après le coup de sifflet final, à Annaba, un jeune homme de 17 ans a trouvé la mort à bord d’une Renault Clio lors d’une collision avec un autre véhicule de type Chevrolet au rond-point de la cité Boukhadra. Même sort pour un homme de 60 ans, qui a péri suite à une chute d’une camionnette au quartier la Zaouïa, à Tébessa. Les urgences des hôpitaux de plusieurs villes à l’Est se sont retrouvées débordées, ce qui a nécessité la mobilisation d’équipes supplémentaires. Le bilan de la Protection civile et des structures sanitaires à Constantine, Annaba, Skikda, Biskra, Guelma, Jijel et Tébessa fait état, en une seule nuit, de plus de 200 blessés, victimes de chutes, de collisions entre véhicules et d’agressions à l’arme blanche.
-Médéa : Omrane, 29 ans, se tue en tombant d’un camion
La modeste famille Saâdaoui, du quartier Oued Zitoune, ne s’attendait guère à un tel malheur. En ce mardi plein de joie, Omrane, 29 ans, père d’un enfant de 2 ans, s’est tué en tombant d’un camion sur lequel il défilait. Il laisse un orphelin mais aussi une épouse, une mère et quatre sœurs. Après la mort de son père, c’est lui qui prenait prendre en charge toute sa famille, qui avait trouvé refuge dans un abri de fortune dans le quartier périphérique de Médéa. Tout le voisinage est consterné par la perte de Omrane, qui «travaillait durement pour subvenir aux besoins des siens.» Cinq autres jeunes de 14 ans à 21 ans ont également été blessés et retenus à l’hôpital Mohamed Boudiaf de Médéa. Sept accidents de la circulation ont fait cinq blessés à Médéa, Ksar El Boukhari, Benchicao et El Omaria.
-Mostaganem : un jeune de 16 ans meurt sur la route
Un jeune homme de 16 ans, originaire du douar Merzouka (Kheir Eddine) a trouvé la mort dans un accident. Un véhicule utilitaire a percuté le fourgon à bord duquel il se trouvait avec des amis, pour fêter la victoire des Verts. Le fourgon s’est renversé au rond-point de Sidi Othman (Sayada) à quelques kilomètres de Mostaganem. La Gendarmerie a ouvert une enquête pour déterminer les causes de l’accident, qui a en outre causé 7 blessés graves.
M'hamed Houaoura, Kamel Medjdoub, Arslan Selmane, A. Taoui
sources: elwatan.com
le Conseil d’Etat soutient Amar Saidani !
Écrit par Hamid Guerni
Coup de massue sur les têtes des redresseurs du FLN qui ont cuktivé l’illusion sur un éventuel arrêt du Conseil d’Etat qui leur serait favorable dans le conflit juridique qui les opposait à Amar Saadani. Jusqu’à la veille du dernier comité central du parti qui formalisa le soutien du FLN au candidat Bouteflika, ils ont continué à croire à leur bon droit.
Coup de massue sur les têtes des redresseurs du FLN qui ont cuktivé l’illusion sur un éventuel arrêt du Conseil d’Etat qui leur serait favorable dans le conflit juridique qui les opposait à Amar Saadani. Jusqu’à la veille du dernier comité central du parti qui formalisa le soutien du FLN au candidat Bouteflika, ils ont continué à croire à leur bon droit.
Illusion perdue ! Le Conseil d’Etat a rendu ce jeudi sa
décision dans le recours introduit par les partisans du couple
Balayat-Abada. Celle-ci a conforté la décision de la chambre
administrative du tribunal d’Alger qui avait autorisé la session du
comité central du parti le 29 aout dernier. Cette autorisation n’avait
pas agrée ceux que l’on nomme les redresseurs du parti qui s’en étaient
allés la contester auprès du Conseil d’Etat.
C’est
finalement peine perdue. Le Conseil d’Etat, par sa décision, légalise
la session du Comité Central qui a vu l’intronisation d’Amar Saadani et,
partant, légitime ce dernier dans son poste de secrétaire général du
parti. Le temps mis par le Conseil d’Etat a rendre sa décision
présageait d’un tel verdict. Car un prononcé de justice faisant
s’écrouler tout ce qui a été bâti avec et autour de Saadani s’imaginait
difficilement.
La
décision du Conseil d’Etat ne manquera pas d’aggraver le désarroi des
redresseurs. La pétition signée, la veille du verdict, par une
soixantaine de membres du CC contestataires de Saadani, est désormais de
peu de portée. Les redresseurs qui se réclament forts de 135 partisans
du comité central n’ont jamais pu faire une démonstration de leurs
allégations par le nombre.
A
la lumière des développements qu’a connus le conflit du FLN, il leur
sera difficile de renverser la vapeur. Le comité central parallèle que
Abada avait annoncé risque de ne plus se tenir. Les redresseurs, eux
lientèlisés, surenchérissent dans le soutien à Bouteflika.
Hamid Guerni
http://www.algerie-express.com
Un père de famille s’immole par le feu à l’intérieur du siège de la wilaya de Boumerdès
Un père de famille, Korichi Mahdi, 32 ans, réclamant un logement social, s’est immolé par le feu, ce jeudi vers 15h à l’intérieur du siège de la wilaya de Boumerdès.
Selon des témoins oculaires, la victime, père de deux enfants et
coiffeur de son état, a été sauvée in-extrémis grâce à l’intervention
des éléments de la protection civile. Ces derniers ont pu éteindre le
feu avec célérité puis ils ont évacué le concerné vers l’unité
médico-chirurgicale de Boumerdès.
L’auteur de cet acte désespéré a été a été transféré peu après vers
l’hôpital des grands brulés de Douéra à Alger.
Une source médicale
affirme qu’il présente des brulures de 2ème degré au visage et au thorax
et des brulures de 3ème degré aux mains. Selon une source locale, la
victime il habite dans un chalet à Corso.
Contacté, le chef de daïra de Boumerdès précise que la commission
d’attribution des logements sociaux a inclus le nom de son frère ainé
dans la liste des bénéficiaires. « Je l’ai reçu dans mon bureau à
plusieurs reprises et je lui ai expliqué qu’on ne pouvait mettre deux
frères dans la même liste. Et c’est la règle qu’on a appliqué pour tout
le monde », indique-t-il en rappelant que la daïra de Boumerdès compte
près de 3500 familles occupant des chalets.
Le même responsable souligne avoir rassuré le concerné de l’inclure
dans la prochaine liste d’attribution de logements sociaux.
sources: El Watan
Mondial 2014: Burkina Faso réclame à la FIFA contre Bougherra
Par RFI
La Fédération burkinabè de football (FBF) a déposé une
réclamation auprès de la FIFA, avant le barrage retour des éliminatoires
pour la Coupe du monde 2014 en Algérie (défaite 1-0 et élimination). La
FBF estime que Madjid Bougherra avait été averti au match aller, ce que
n'indique pas la feuille de la rencontre. Selon la FBF, le défenseur
algérien était pourtant suspendu pour le match retour. Le Burkina Faso
réclame donc une victoire par forfait et une qualification pour le
Mondial 2014.
Des scènes de joie ont eu lieu, le 20 novembre 2013, au Burkina
Faso, selon divers observateurs. La raison ? Une folle rumeur qui
annonce la qualification de l’équipe nationale de football pour la Coupe
du monde 2014. Ladite rumeur assurant que les Burkinabè, éliminés le 19
novembre par l’Algérie (défaite 1-0 à Blida) , ont été repêchés grâce à
une victoire sur tapis vert.
Le secrétaire général du ministère des Sports et des loisirs, Ahmed Sory Ouattara, a ainsi du se fendre d’un communiqué pour démentir : « Depuis quelques heures la rumeur persistante faisant croire à une qualification des Etalons au Mondial 2014 sur tapis vert au détriment des Fennecs d’Algérie, s’est répandue à travers l’ensemble du pays. A cet effet monsieur le ministre des Sports et loisirs a l’honneur d’inviter les populations à la retenue et à s’en tenir jusqu’à preuve officielle au résultat acquis sur le terrain. »
Ce qui est sûr, en revanche, c’est que la Fédération burkinabè a bel et bien déposé une réclamation auprès de la Fédération internationale (FIFA). La FIFA n’a pas voulu confirmer la démarche burkinabè et s’est refusée à tout commentaire. « Nous sommes en train d’analyser les différents rapports de matches des arbitres et cherchons encore des informations », s’est-on borné à déclarer à Zurich.
Madjid Bougherra était-il suspendu ?
La FBF a finalement expliqué ce 21 novembre 2013 avoir déposé une réclamation juste avant le barrage retour. La raison ? La présence de Madjid Bougherra sur le terrain. Les dirigeants burkinabè affirment en effet que le défenseur, buteur décisif à Blida, aurait reçu un carton jaune à Ouagadougou. Un deuxième carton jaune après celui reçu face au Mali (victoire 1-0 le 10 septembre) qui aurait du être synonyme de suspension pour le barrage retour en Algérie.
La feuille de match officielle de la FIFA ne mentionne en tout cas aucun avertissement adressé à Madjid Bougherra. Mais la FBF souligne qu'il s'agit d'un oubli de la part du commissaire de match. Et elle affirme pouvoir prouver, vidéo a l'appui, ses dires. En conséquence, le Burkina Faso réclame une victoire 3-0 sur tapis vert, la sanction habituelle pour une équipe qui aligne un joueur inéligible. Une victoire par forfait enverrait effectivement les Etalons au Brésil.
La FIFA va devoir se prononcer très rapidement sur cette réclamation, car le tirage au sort de la coupe du monde 2014 aura lieu le 6 décembre au Brésil.
source: RFI
Le secrétaire général du ministère des Sports et des loisirs, Ahmed Sory Ouattara, a ainsi du se fendre d’un communiqué pour démentir : « Depuis quelques heures la rumeur persistante faisant croire à une qualification des Etalons au Mondial 2014 sur tapis vert au détriment des Fennecs d’Algérie, s’est répandue à travers l’ensemble du pays. A cet effet monsieur le ministre des Sports et loisirs a l’honneur d’inviter les populations à la retenue et à s’en tenir jusqu’à preuve officielle au résultat acquis sur le terrain. »
Ce qui est sûr, en revanche, c’est que la Fédération burkinabè a bel et bien déposé une réclamation auprès de la Fédération internationale (FIFA). La FIFA n’a pas voulu confirmer la démarche burkinabè et s’est refusée à tout commentaire. « Nous sommes en train d’analyser les différents rapports de matches des arbitres et cherchons encore des informations », s’est-on borné à déclarer à Zurich.
Madjid Bougherra était-il suspendu ?
La FBF a finalement expliqué ce 21 novembre 2013 avoir déposé une réclamation juste avant le barrage retour. La raison ? La présence de Madjid Bougherra sur le terrain. Les dirigeants burkinabè affirment en effet que le défenseur, buteur décisif à Blida, aurait reçu un carton jaune à Ouagadougou. Un deuxième carton jaune après celui reçu face au Mali (victoire 1-0 le 10 septembre) qui aurait du être synonyme de suspension pour le barrage retour en Algérie.
La feuille de match officielle de la FIFA ne mentionne en tout cas aucun avertissement adressé à Madjid Bougherra. Mais la FBF souligne qu'il s'agit d'un oubli de la part du commissaire de match. Et elle affirme pouvoir prouver, vidéo a l'appui, ses dires. En conséquence, le Burkina Faso réclame une victoire 3-0 sur tapis vert, la sanction habituelle pour une équipe qui aligne un joueur inéligible. Une victoire par forfait enverrait effectivement les Etalons au Brésil.
La FIFA va devoir se prononcer très rapidement sur cette réclamation, car le tirage au sort de la coupe du monde 2014 aura lieu le 6 décembre au Brésil.
source: RFI
21/11/2013
Attaques contres les étudiants "ce qui s'est passer était très grave"
En plus des témoins avec lesquels nous étions en contact hier en direct des événements qui se sont déroulés dans la ville de Béjaia à savoir une guerre rangée entre les étudiants et des voyous de certains quartiers de cette ville (voir nos précédents articles publiés hier), je publie ici un témoignage triste d'un étudiant ou d'une étudiante qui a été terrorisée et était témoin oculaire de cette violence dont on ne connait pas encore les origines et les auteurs de cette manipulation ou ce complot.
20/11/2013
Malika Arabi: "Mes livres sont une autobiographie généralisée"
Qui est Malika Arabi?
Je suis une fille du peuple, une fille issue de l'Algérie
profonde. J'ai grandi en commençant ma jeune vie dans la guerre, j'ai eu le
bonheur d'assister au recouvrement de l'indépendance, ce qui n'est pas une
mince affaire. Comparée aux liesses engendrées par un match de foot gagné de
nos jours, les liesses de l'indépendance sont décuplées. Les raisons ne se
ressemblent pas bien sûr mais c'est juste pour dire que c'est fabuleux de vivre
un tel moment. Cela ne veut pas pour autant dire que les douleurs engendrées
par une longue guerre soient effacées ou oubliées. J'ai eu le chance de faire
mes études durant les années d'or de l'enseignement en Algérie où nos
professeurs d'arabe ne nous apprenez pas comment laver un mort mais juste à respecter
les personnes âgées en particulier et l'être humain d'une manière générale et
c'est grâce à cet enseignement, à toutes les valeurs enseignées y compris par
mes parents que je suis ce que je suis aujourd'hui. Je tiens à souligner
également que je fais partie de ceux qui ont beaucoup d'amour pour la mère
patrie.
Urgent: Affrontement entre étudiants et habitants à Béjaia
Selon nos sources actuellement la ville de Béjaia connait des affrontements entre étudiants et certains habitants de cette ville. A signaler que d'autres affrontements ont eu lieu hier de minuit jusqu'à 3 heures du matin entre ces deux parties.
les trois résidences universitaires du centre ville à savoir "Mille Lits", "17 octobre" et "Tahar Djaout"
où l'on compte près de 3000 étudiants subissent des attaques de groupes de jeunes de cette ville par des jets de pierres de lancement de bouteilles et d'autres projectiles. ce qui provoque la ripostes des étudiants et contre attaquent.
les trois résidences universitaires du centre ville à savoir "Mille Lits", "17 octobre" et "Tahar Djaout"
où l'on compte près de 3000 étudiants subissent des attaques de groupes de jeunes de cette ville par des jets de pierres de lancement de bouteilles et d'autres projectiles. ce qui provoque la ripostes des étudiants et contre attaquent.
LOUIS MARIE-AUGUSTE BOUTAN le précurseur de la photographie sous marine gît au cimetière chrétien de Tigzirt
LOUIS
MARIE-AUGUSTE BOUTAN le précurseur de la photographie sous marine gît
au cimetière chrétien de Tigzirt "in le quotidien la cité N°177
du20/11/2013 page12 et 13"
Au cimetière européen de Tigzirt une
tombe appartenait à la famille de Louis Marie-Auguste Boutan, un
biologiste et photographe français, né à Versailles le 6 mars 1859 Il
travaille en biologie marine à Banyuls sur mer et décide en 1892 de
photographier la vie sous-marine. en 1906 donne des cours à la Faculté
des Sciences de Bordeaux. En 1915, il développe avec son frère un
appareil de plongée sous marine pour l'Armée. Il deviendra plus tard
directeur du laboratoire de zoologie d'Arcachon, puis inspecteur des
pêches à Tigzirt. Louis Boutan fut décédé à Tigzirt en kabyle maritime
le 6 avril 1934.
C’est vers 1893 que débutèrent les expériences de Louis BOUTAN et Joseph DAVID son Mécanicien dans la baie de Banyuls au Laboratoire ARAGO qui marquèrent le début de la photographie sous-marine. Louis Boutan était un personnage aux aspects multiples et originaux pour l’époque. Docteur ès sciences, maître de conférences à la Sorbonne, il fut amené progressivement, par ses travaux de recherche, à s’intéresser au milieu marin: il commença en effet par étudier le parasitage en milieu viticole, pour aboutir aux recherches sur les mollusques marins. Ceux-ci le conduisirent à la station marine Arago, en baie de Banyuls, où il apprit l’utilisation du scaphandre lourd.
Témoignage d’un rebelle syrien : "La surenchère ‘islamiste’ est une stratégie de financement"
D’abord
structure centrale de l’opposition armée à Bashar al-Assad, l’Armée
syrienne libre a perdu de son influence à mesure que ses combattants ont
préféré rejoindre des brigades islamistes, généralement mieux financées
et donc mieux armées. Un choix qui, pour certains rebelles, relève
davantage du pragmatisme que de la conviction religieuse.
Un étudiant se réveille à Paris...après avoir fait la fête à Manchester
Luke Harding a vécu une de ces nuits épiques où, l’alcool
aidant, on oublie tout. Au point pour cet anglais de se réveiller de
l’autre côté de la Manche, sans aucun souvenir de son voyage.
Tout commence par une soirée «classique» pour ce jeune homme de 19 ans. Déjà bien alcoolisé, il décide de sortir en boîte de nuit avec des amis, à Manchester, où il réside.
Des supporteurs algériens impliqués dans des incidents en France
La célébration de la qualification de l’Algérie pour le mondial
du Brésil, mardi soir, par des algériens établis en France a été gâchée
par des incidents enregistrés dans de nombreuses villes françaises.
En effet, selon des sources policières françaises les plus importants incidents ont été enregistrés dans les villes de Marseille, Avignon, Paris et Besançon.
En effet, selon des sources policières françaises les plus importants incidents ont été enregistrés dans les villes de Marseille, Avignon, Paris et Besançon.
Tizi- Ouzou : Une femme condamnée à 10 ans de réclusion criminelle pour infanticide
Le
tribunal criminel de Tizi Ouzou, a prononcé, mercredi, la peine de 10
ans de prison ferme contre Hessas Djouher, une sexagénaire, reconnue
coupable de “participation à l’assassinat d’un nouveau-né”.
Selon l’arrêt de renvoi de la chambre d’accusation, l’accusée, originaire de la commune de Tizi-Rached (20 km à l’Est de Tizi-Ouzou), qui a été jugée en appel, suite à un pourvoi en cassation introduit par la Cour suprême, a participé, en mars 2009 avec son fils ainé, à un infanticide, dont a été victime un enfant illégitime de sa fille.
Selon l’arrêt de renvoi de la chambre d’accusation, l’accusée, originaire de la commune de Tizi-Rached (20 km à l’Est de Tizi-Ouzou), qui a été jugée en appel, suite à un pourvoi en cassation introduit par la Cour suprême, a participé, en mars 2009 avec son fils ainé, à un infanticide, dont a été victime un enfant illégitime de sa fille.
En direct: l'équipe de France vient d'inscrire un 3e but
Nous apprenosn que l'équipe de foot ball de France vient d'inscrire un 3e but. une victoire avant uen quizaine de minute du match. une victoire si proche!
Mourad Hammami
Mourad Hammami
la séquence du but de qualification de l'Algérie au mondial 2014
La séquence du but grâce auquel l'Algérie s'est qualifiée pour la coupe du monde 2014.
M.H
M.H
Éclatement de joie l'Algérie qualifiée de justesse !
Éclatement de joie l'Algérie qualifiée de justesse !
Après un match difficile l’Algérie est qualifiée pour le
mondial 2014 prévu au Brésil.
Le but a été inscrit à la deuxième mi temps par Bouguerra. Quelques
minute avant la fin du match, les joueurs de Burkina Faso ont faillit égaliser.
Le match s’est déroulé avec suspens terrible. Au sifflet de
l’arbitre c’est la délivrance et l’éclatement
de joie de Tigzirt, à Alger à Tlemcen, à Tebessa, à Ouargla et jusqu’à
Tamenrasset.
200.000 Euros pour chaque joueur en cas de victoire de l'équipe nationale
Une prime de plus de 21 millions de dinars (200.000 euros) pour
chaque joueur algérien en cas de victoire contre le Burkina Faso
synonyme de qualification pour la phase finale de la coupe du monde au
Brésil en 2014.
C’est la promesse faite par les responsables de la fédération algérienne de football (FAF) pour motiver davantage les verts à arracher ce billet qualificatif pour ce grand rendez vous mondial de la balle ronde.
C’est la promesse faite par les responsables de la fédération algérienne de football (FAF) pour motiver davantage les verts à arracher ce billet qualificatif pour ce grand rendez vous mondial de la balle ronde.
Kidnapping de Aghiles Hadjou Peine capitale requise contre les auteurs
Le tribunal criminel près la cour de Tizi Ouzou a examiné, hier, l’affaire de l’enlèvement et de l’assassinat du jeune Hadjou Aghiles, fils d’un entrepreneur d’Azeffoun. Les faits remontent au mois d’octobre 2012. Les quatre accusés, H. Mohamed, C. Amar, B. Mehdi et Y. Amar, âgés de 19 à 33 ans, ont nié les griefs liés à l’homicide volontaire avec préméditation, arguant que la victime a été «accidentellement tuée.»
Algérie- Burkina Faso : 40 blessés devant l’entrée du stade de Blida
Des incidents ont éclaté, mardi matin, devant l’entrée du
stade Mustapha Tchaker de Blida qui doit abriter en début de soirée le
match barrage de l’équipe nationale contre son homologue burkinabée
comptant pour la qualification au mondial 2014 au Brésil. Selon la
protection, pas moins d’une quarantaine de personnes ont été blessées
parmi les supporters au cours de ces incidents.
Ainsi selon la même source, 40 blessés légers dans les rangs des supporters de l’équipe nationale de football suite aux bousculades devant l’entrée du stade a précisé Nassim Bernaoui du service de communication de la protection civile.
L’un des personnes blessées, atteinte à la tête, a été transportée à l’hôpital de Blida, selon la protection civile qui a précisé que les les autres blessures étaient légères atteignant pour la plupart les membres inférieurs et supérieurs”. Alors que deux autres personnes ont fait une chute accidentelle du haut du pont de Ouled Yaiche et quatre autres ont été atteintes de crise d’asthme, toujours selon la même source.
source http://www.algerie360.com
Ainsi selon la même source, 40 blessés légers dans les rangs des supporters de l’équipe nationale de football suite aux bousculades devant l’entrée du stade a précisé Nassim Bernaoui du service de communication de la protection civile.
L’un des personnes blessées, atteinte à la tête, a été transportée à l’hôpital de Blida, selon la protection civile qui a précisé que les les autres blessures étaient légères atteignant pour la plupart les membres inférieurs et supérieurs”. Alors que deux autres personnes ont fait une chute accidentelle du haut du pont de Ouled Yaiche et quatre autres ont été atteintes de crise d’asthme, toujours selon la même source.
source http://www.algerie360.com
les supporters algériens empêchent les joueurs burkinabè de dormir
Comment faire, à la veille d’un match crucial de son équipe
favorite, pour mettre les joueurs adverses dans les moins bonnes
dispositions possibles ?
Alors que leur équipe, battue 3-2 à l’aller par le Burkina Faso,
doit absolument l’emporter par un but d’écart lors du match retour ce
soir, les supporters algériens n’y sont pas allés par quatre chemins :
hier soir, ils étaient des centaines devant l’hôtel des joueurs du
Burkina Faso, en plein cœur de Blida, au sud-ouest d’Alger, pour
chanter, jouer de la vuvuzela ou lancer des feux d’artifices et empêcher
les Burkinabè de fermer l’œil !
L’intervention du douzième homme algérien a peut-être donné des
idées aux Suédois, dont l'équipe nationale joue également un match
déterminant ce soir face au Portugal. Très tôt ce matin, la radio
suédoise "Rix FM" a envoyé un chanteur et d'énormes basses devant le
lieu où résident actuellement les joueurs portugais pour un réveil en
fanfare !
source France 24
L'ambassadeur britannique Martyn Rope souhaite bonne chance à l'équipe algérienne de football
L'ambassadeur britannique Martyn Roper et le personnel de l'ambassade britannique à Alger souhaite bonne chance à l'équipe nationale algérienne de football pour les play-off de la Coupe du Monde de la FIFA 2014.
Classement: Ifrane: deuxième ville la plus propre dans le monde
Les responsables et les citoyens de la ville d’Ifrane seront ravis.
Ravis d’apprendre que leur cité est sacrée deuxième ville la plus propre
dans le monde.
Ce classement (top 12) vient d’être publié par le journal d’information MBC times. Le classement se base sur les résultats des enquêtes de qualité de vie. Ces enquêtes prennent en compte des facteurs tels que la disponibilité de l’eau, le ramassage des déchets, le système des égouts, la pollution atmosphérique et la densité du trafic. « Sur la base de cette information, nous nombrons ci-dessous les villes les plus propres au monde ». Peut-on lire sur le site.
Ce classement (top 12) vient d’être publié par le journal d’information MBC times. Le classement se base sur les résultats des enquêtes de qualité de vie. Ces enquêtes prennent en compte des facteurs tels que la disponibilité de l’eau, le ramassage des déchets, le système des égouts, la pollution atmosphérique et la densité du trafic. « Sur la base de cette information, nous nombrons ci-dessous les villes les plus propres au monde ». Peut-on lire sur le site.
Au Liban, l'ambassade d'Iran visée par un attentat d'Al-Qaida22 personnes ont été tuées et 146 blessées
Au moins 22 personnes ont été tuées et 146 blessées dans un attentat qui a eu lieu devant l'ambassade d'Iran à Beyrouth, mardi 19 novembre, selon le gouvernement libanais. Parmi les victimes figure le conseiller culturel iranien, dont la mort a été confirmée par le ministère des affaires étrangères iranien. L'ambassadeur d'Iran serait, lui, sain et sauf.
Match Algérie – Borkina Faso : Entre fête d’un peuple et enjeux politiques pour le pouvoir
Cette effervescence nous rappelle les moments de folie
hystérique vécue en 2009 lors de la grande de bataille de qualification contre
les Egyptiens pour la qualification de la coupe du monde.
A cette époque tout le monde savaient que les grands enjeux était l’ambition aveugle de Djamel Moubarek pour y succéder à son père. Le fils aveuglé par le pouvoir avait alors besoin de tous les moyens imaginables pour faire qualifier l’équipe égyptien, et faire passer son projet dans la foulée de cette effervescente et de cette euphorie.
A cette époque tout le monde savaient que les grands enjeux était l’ambition aveugle de Djamel Moubarek pour y succéder à son père. Le fils aveuglé par le pouvoir avait alors besoin de tous les moyens imaginables pour faire qualifier l’équipe égyptien, et faire passer son projet dans la foulée de cette effervescente et de cette euphorie.
La manipulation des masses ne date pas d’aujourd’hui. Les
gens avertis voient dans ce match d’aujourd’hui un événement sportif heureux
mais qui cache aussi des arrières pensée politique claires.
De Morsi en Egypte a El-ghanouchi en Tunisie a Abbasi madani en Algérie, La face cachée des Frères Musulmans
Une des clefs expliquant la « radicalisation » de l’islam au Moyen-Orient, au Maghreb et les tentatives de radicalisation des communautés musulmanes en Europe et l’une des « clefs » du conflit Syrien, la confrérie des Frères Musulmans qu’on connaît évidemment en Egypte est une véritable « internationale islamiste » qui fournissait nombre de clefs sur l’évolution des « printemps Arabes » de 2011.
Le groupe Michelin est décidé à arrêter ses activités en Algérie.
L’entreprise Michelin Algérie a publié ce
lundi, dans un quotidien national, un encart publicitaire, dans lequel
elle annonce un “avis de vente par voie de soumission sous double plis
cacheté”. Une annonce qui survient en plein “polémique” autour de la
reprise de cette usine par Cevital et de la volonté de l’Etat d’exercer le droit de préemption
afin de mettre en échec cette transaction. La vente aux enchères
concerne 10 lots de matériel. Il s’agit de chariots élévateurs,
transformateurs, déchiqueteuses, générateurs de vapeurs ou bien de
compresseurs d’air ainsi que de matériel de laboratoire de chimie et de
métrologie. Les soumissionnaires potentiels ont jusqu’au 11 décembre
pour déposer leurs offres.
CRTC Berbère Télévision émettra au Canada
La décision a été rendue par le CRTC
Berbère Télévision émettra au Canada
Par : YAHIA ARKAT
Berbère Télévision émettra bientôt sous
le ciel canadien. Le diffuseur de droit privé a vu sa demande introduite
en mars dernier acceptée par le Conseil de la radiodiffusion et des
télécommunications canadiennes (CRTC). L’organe public de régulation des
médias lourds, à la faveur de sa délibération, a ajouté Berbère
Télévision à la “liste de services de programmation non canadiens
approuvés pour distribution”.
La demande de l’ex-BRTV a été parrainée par TV5 Canada qui sollicitait du CRTC l’autorisation de diffusion pour le média amazigh. Demande qui a reçu beaucoup d’appui de la communauté amazighe établie au Canada. C’est que l’avis favorable du CRTC dépendait en partie de l’audience du média au sein de la communauté. Une pétition en ligne sur le site du CRTC a recueilli des centaines de signatures dépassant de loin le seuil exigé de 1 500 paraphes avec adresse postale et téléphone.
La Défense (Paris): coups de feu devant la Société générale
Un individu armé, qui a ouvert le feu, lundi 18
novembre peu après 11 h 30, devant la tour Granite de la Société générale, à la
Défense, était en fuite
lundi en milieu de journée. Quelques heures après l'agression survenue au siège de Librération au cours de laquelle un
assistant photographe a été très sévèrement blessé, les forces de l'ordre
étaient en état d'alerte, sans qu'on sache si les deux événements sont
liés.
Lounes Ouzir un immigré originaire d'Iflissen Poignardé à mort en France
les habitants du village Taourirt Zouaou dans la commune d'Iflissen à 15 km de la ville de Tigzirt et à 40 km au nord de la ville de Tizi-Ouzou ont enterré avant hier un de leur fils qui vivait en France.
la victime s'appelle Lounes Ouzir, 39 ans il a été poignardé mortellement dans un bar près de la gare.
voici l'article qui lui a été consacré par le journal Ouest France:
Lounes Ouzir, 39 ans, a reçu un coup de couteau dans le ventre. Il est décédé d'une hémorragie interne pendant son transport au CHU, quelques minutes après avoir été agressé. Les secours n'ont rien pu faire pour le sauver. Cet Algérien vivait dans le quartier des Dervallières, à Nantes.
la victime s'appelle Lounes Ouzir, 39 ans il a été poignardé mortellement dans un bar près de la gare.
voici l'article qui lui a été consacré par le journal Ouest France:
Par Vanessa RIPOCHE.
Les rideaux ont été tirés Chez Mamazette. Ce bar du
quartier de la gare SNCF est planté dans une enfilade de bistrots,
kebabs, épicerie de nuit et sex-shops, allée du Commandant-Charcot. Il
est resté fermé, hier matin. La veille, vers 22 h 30, un client a été
tué par arme blanche, sur le trottoir, devant l'établissement.Lounes Ouzir, 39 ans, a reçu un coup de couteau dans le ventre. Il est décédé d'une hémorragie interne pendant son transport au CHU, quelques minutes après avoir été agressé. Les secours n'ont rien pu faire pour le sauver. Cet Algérien vivait dans le quartier des Dervallières, à Nantes.
LES ÉMIGRÉS ET LE CHANGE PARALLÈLE EN KABYLIE 4 milliards d’euros dans la rue
Par Kamel BOUDJADI
Une étude Femip
(Facilité euro-méditerranéenne d´investissement et de partenariat)
réalisée par la Banque européenne d´investissement, a conclu qu´entre
12,4 et 13,6 milliards d´euros sont transférés annuellement vers les
pays du Maghreb.
La Kabylie détient la plus grande partie des
transferts d’argent de l’émigration. Se chiffrant à des milliards
d’euros, cette manne est absorbée par le marché informel au lieu de
participer au développement de la région.
Tentative de délester un citoyen de son véhicule à Tigzirt
Tigzirt Banditisme
Tentative de délester un citoyen de son véhicule
Nous apprenons que durant la nuit de dimanche aux environs de 21 h, un groupe de malfaiteurs non identifié s'est attaqué à un citoyen en tentant de le délester de son véhicule.
le fait a eu lieu à la sortie de Est de la ville de Tigzirt sur la RN24 aux environs des falaises de Taksebt.
Ce citoyen étranger à la région s'est arrêté pour un moment sur la chassée dont le but est de se soulager de ses besoins, lorsqu'un groupe de bandits armé d'armes blanches et de barres de fer s'est attaqué à lui. il avait résisté à cette agression.Il avait reprit place vite dans son véhicule. Après plusieurs manœuvres dans des conditions difficiles il avait réussi à s'échapper des mains de ces malfaiteurs.
immédiatement il est allé déposer plainte auprès du commissariat de Tigzirt. Ces derniers l'on par la suite orienté vers la brigade de la gendarmerie de la ville.
A signaler qu'au début de cette année trois véhicules ont été volé en l'espace de deux mois dans cette paisible ville. Ce qui suppose malgré les plaintes et les réclamations des citoyens, les malfaiteurs courent toujours. leur activité de malfaiteurs a toujours eu lieu durant cette période hivernale où les nuits sont longue allant de novembre au mois d'avril. En plus des agressions , des vols de véhicules ces malfaiteurs s'attaquent également à des domiciles, où parfois on les cambriole même en plein jour.
M.H
Tentative de délester un citoyen de son véhicule
Nous apprenons que durant la nuit de dimanche aux environs de 21 h, un groupe de malfaiteurs non identifié s'est attaqué à un citoyen en tentant de le délester de son véhicule.
le fait a eu lieu à la sortie de Est de la ville de Tigzirt sur la RN24 aux environs des falaises de Taksebt.
Ce citoyen étranger à la région s'est arrêté pour un moment sur la chassée dont le but est de se soulager de ses besoins, lorsqu'un groupe de bandits armé d'armes blanches et de barres de fer s'est attaqué à lui. il avait résisté à cette agression.Il avait reprit place vite dans son véhicule. Après plusieurs manœuvres dans des conditions difficiles il avait réussi à s'échapper des mains de ces malfaiteurs.
immédiatement il est allé déposer plainte auprès du commissariat de Tigzirt. Ces derniers l'on par la suite orienté vers la brigade de la gendarmerie de la ville.
A signaler qu'au début de cette année trois véhicules ont été volé en l'espace de deux mois dans cette paisible ville. Ce qui suppose malgré les plaintes et les réclamations des citoyens, les malfaiteurs courent toujours. leur activité de malfaiteurs a toujours eu lieu durant cette période hivernale où les nuits sont longue allant de novembre au mois d'avril. En plus des agressions , des vols de véhicules ces malfaiteurs s'attaquent également à des domiciles, où parfois on les cambriole même en plein jour.
M.H