30/11/2013

Moufdi Zakaria, l'auteur de Qassamen

Moufdi Zakaria

 Combien de jeunes issus de la nouvelle génération savent que l’auteur de l’hymne national a été SDF (sans domicile fixe) ? Pire encore, il fut poussé à l'exil car il revendiquait son appartenance au peuple amazigh, dans une Algérie tenue d'une main de fer par Boumedienne qui a accédé au pouvoir en 1965 grâce à un coup d'état et qui la voulait exclusivement arabe .

   Il a été accusé de traîtrise pour avoir revendiqué son identité berbère alors que alors que son oeuvre KASSAMAN est chantée quotidiennement en Algérie depuis le 6 juillet 62 a ce jour... Il fallait oser, quel culot ! Zekri Cheikh connu sous le nom de Moufdi Zakaria, est né en 1908; une autre source indique qu'il est né le 12 avril 1913, à Béni Izguen (Ghardaïa), descendant des Béni Rostom, dynastie musulmane amazigh (berbere) fondateurs de Tihert. Il est l'auteur de l'hymne algérien Kassaman composé en prison en 1955. 

   Surnommé le Poète de la révolution Algérienne, son véritable nom fut après Cheikh Zakaria Ben Slimane Ben Yahia Ben Cheikh Slimane Ben Hadj Aissa. Le surnom Moufdi, devenu son pseudonyme littéraire, lui a été décerné par Slimane Boudjenah. Il est né le Samedi (05 ou 06) Djoumada El Oula de l’an 1331 de l’hégire, correspondant au Samedi 12 avril 1913, à Beni Izguen (Ghardaïa) dans la région du Mzab. Il est décédé le 17 août 1977 à Tunis des suites d'une crise cardiaque, il a été enterré à Beni Isguen dans une indifférence totale.

«Bouteflika prend en otage l’Algérie»

 
  L ’avenir de notre pays pourrait être très sombre car, à quelques mois seulement de l’élection présidentielle, le peuple ne sait rien de ce rendez-vous très important», a laissé entendre, hier, Soufiane Djilali, président du parti Jil Jadid, lors d’un meeting animé à la petite salle de conférences de la maison de la culture Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou.
 



L’orateur n’a pas mâché ses mots pour stigmatiser le président de la République qui veut, selon lui, «prendre en otage tout un pays».
«Comment un homme malade, paralysé qui ne peut même pas signer un document, veut se porter, pour la quatrième fois, candidat à la présidentielle ? L’Algérie appartient à tous les Algériens, pas seulement à Bouteflika, sa famille et son clan qui a fait fuir les citoyens de la politique par ses mensonges», a-t-il martelé.
M. Djilali a, dans le même contexte, souligné la nécessité d’aller vers la construction d’un Etat de droit.
«Soutenir ceux qui veulent un quatrième mandat pour Bouteflika est une humiliation», a-t-il déclaré, avant d’ajouter : «Une personne affaiblie ne peut pas travailler pour l’intérêt du pays
Le président de Jil Jadid a, sur un autre registre, précisé que l’actuelle Assemblée nationale n’est pas légitime. Elle est issue, a-t-il soutenu, de la fraude.
En outre, l’orateur a fait remarquer qu’il existe une corruption à grande échelle en Algérie et, pour illustrer ses propos, il cite le cas Chakib Khelil et l’affaire Sonatrach.
 

El-Watan.com

28/11/2013

30 millions pour aller au Brésil

Les agences de voyages se préparent pour le Mondial 2014 au Brésil. Les premières offres de séjours pour les supporters des Verts, qualifiés à la Coupe du monde de football, seront disponibles à partir du 1er décembre 2013, selon des agences basées à Alger. 

Même si le prix définitif du séjour n’a pas encore été arrêté, il pourrait atteindre 300 000 dinars en formule tout compris. « Ce prix prend en charge le billet d’avion Alger-Rio qui coûte, à lui seul, la bagatelle de 110 000 DA, ainsi que le visa dont le tarif est fixé à 40 000 DA. L’hébergement, le transport sur place et la restauration coûteraient près de 150 000 dinars. On sera définitivement fixé sur le prix des séjours la semaine prochaine », explique une hôtesse dans une agence de voyages. Il restera aux supporteurs d’acheter leurs billets une fois sur place.

Les tarifs des tickets de stade mis en vente pour le Mondial oscillent entre 110 euros et 753 euros. « Depuis la qualification de l’équipe nationale au Mondial 2014, huit personnes sur dix qui se présentent chez nous, sont des supporteurs qui viennent pour s’informer sur les séjours au Brésil. Ils sont impatients, alors qu’il reste encore sept mois avant le début de la compétition », souligne-t-elle. Mais de l’avis de nombreuses personnes rencontrées dans les agences de voyages et tentées par l’aventure brésilienne, le prix avancé par les voyagistes n’est pas à la portée de tous les supporteurs.  « Qui va pouvoir se payer un voyage au Brésil à ce prix ? Certainement pas le simple citoyen. A moins que ma banque m’accorde un crédit, sinon il me sera impossible d’y aller », explique Kamel, cadre dans une entreprise publique.
Source: TSA

Grande Mosquée de Paris: Colère des femmes!

La décision de la Grande Mosquée de Paris d’assigner, voici quelques semaines, les femmes dans une salle de prière aménagée au sous-sol n’a pas été du goût de toutes. Un collectif de fidèles parmi les femmes, en colère contre une décision qu’elles jugent arbitraire, s’est constitué pour appeler l’administration à les replacer dans la salle principale où elles avaient l’habitude de prier derrière les hommes.

Dans une lettre envoyée lundi 25 novembre au recteur de la Grande Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, elles réclament des explications officielles. « L'administrateur général nous a répondu que cette décision avait été prise suite à une demande des fidèles-hommes trop gênés par le comportement bruyant de certaines femmes. Cet argument ne nous a pas étonnées car nous avons également été victimes de ces faits » mais « interdire l'entrée de ce lieu à l'ensemble des femmes pour les raisons évoquées s'apparente bien à une sanction collective injuste et disproportionnée », font-elles savoir.

Une séparation sans motif religieux

Pour remédier à ces troubles, proposition a été faite pour « que le rideau de séparation entre les femmes et les hommes soit retiré, d'une part, parce qu'il n'a pas de base religieuse et qu'il stigmatise les femmes et d'autre part, supprimer cette isolation visuelle aurait permis aux femmes "dissipées" de mieux se concentrer sur l'activité de prières et de méditation à l'image des hommes », expliquent-elles.

La nouvelle pièce qui leur est dédiée étant isolée, la situation s’est aggravée puisqu’elle est devenue « un vrai salon de thé et une garderie : aucune possibilité d'être concentrée et de profiter de la beauté architecturale de cette mosquée historique propice au recueillement ».

Les femmes en action à la mosquée

Pour être mieux entendues des responsables, une dizaine de jeunes femmes se sont rendues à la mosquée, samedi 23 novembre, lors de la prière du soir (Maghreb) pour accomplir cette obligation religieuse à leur salle de prière habituelle, et ce, malgré les protestations d’hommes qui, l’argument du « haram » en main, refusaient de les voir prier dans la même pièce qu’eux. Après la prière, ces dernières assurent même avoir été menacées « pour nous dissuader de revenir ».

Pour appuyer leur demande au recteur, une pétition en ligne a été lancée en parallèle par le collectif. « L'invisibilisation des femmes dans les lieux de culte est symptomatique d'un malaise dans les rapports hommes-femmes. Nous souhaitons rétablir une réalité de la tradition prophétique qui est que les femmes étaient (et sont) des actrices dans la vie de la société et de leur communauté religieuse », lit-on. Les femmes n’entendent pas se laisser intimider : elles attendent de pied ferme une décision favorable qui saura les sortir d’une exclusion injustifiée. 
Source:  http://www.saphirnews.com

Syrie: l'armée prend un avantage décisif dans la guerre au nord de Damas

Damas - L'armée syrienne a pris jeudi un avantage décisif en s'emparant d'un secteur clé au nord de Damas, avec l'objectif d'asphyxier les rebelles positionnés autour de la capitale et dans le centre du pays.



En marquant des points sur le terrain, le régime de Bachar al-Assad, qui s'appuie sur le Hezbollah libanais et des miliciens chiites irakiens, veut arriver en position de force à la conférence de paix de Genève-2 et balayer ainsi l'exigence de l'opposition d'un départ de M. Assad.
Après avoir pris le 19 novembre Qara, les forces du régime se sont emparées d'une nouvelle localité de la région de Qalamoun, celle de Deir Attiya où vit une importante communauté chrétienne.
«Notre armée héroïque a pris le contrôle de Deir Attiya, dans la province de Damas, après avoir écrasé les dernières poches terroristes», selon la télévision d'Etat.
L'armée «a réussi à nettoyer la ville des terroristes et à tuer un grand nombre d'entre eux après quatre jours de combats», a confirmé à l'AFP un haut responsable de la sécurité à Damas.
Selon lui, «les opérations continuent autour de la ville jusqu’à que soit mené à bien notre objectif qui est d’anéantir toute présence des terroristes dans la région», a-t-il ajouté, en allusion aux rebelles.
Qalamoun en passe d'être prise
La région montagneuse de Qalamoun située dans la province de Damas, voisine de celle de Homs plus au nord, est formée de plusieurs villages et localités. L'armée cherche à prendre Qalamoun pour assurer une continuité territoriale sous son contrôle entre les provinces de Damas et Homs.
Proche de la frontière libanaise, Qalamoun, où se trouvent des dépôts d'armes, constitue la base-arrière des insurgés pour encercler la capitale Damas et commander l'accès à l'autoroute Damas-Homs.
Selon le haut responsable de la sécurité, l’autoroute Homs-Damas n'a pas été encore rouverte en raison de la présence de tireurs embusqués. «Ce sera chose faite dans quelques jours».
L’Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) a indiqué que l'armée avait pris la quasi-totalité de la ville en chassant les jihadistes de l’Etat islamique d'Irak et du Levant (EIIL) et d'autres rebelles qui s'y trouvaient.
Selon une source de sécurité, l'armée est entrée à Nabak, une autre localité de Qalamoun située à 70 km au nord de Damas. «Si cette ville est prise, il ne restera plus que Yabroud et quelques villages pour verrouiller complètement la frontière avec le Liban et empêcher toute fuite ou entrée de rebelles vers ce pays».
Par cette stratégie, l'armée vise à étouffer complètement les rebelles présents autour de Damas, notamment dans la région arboricole de la Ghouta orientale, en les privant d'armes et de munitions venant de la Jordanie ou du Liban.
Prochaine étape 'le Sud'
«La prochaine étape sera la reprise du sud (du pays). Le nord est l'est c'est pour plus tard», a affirmé la même source. Les régions septentrionale et orientale sont aux mains de la rébellion ou de combattants kurdes.
Ces derniers jours, les rebelles ont tenté en vain de briser le verrou autour de Damas et des affrontements avaient lieu dans le secteur de Marj al-Sultan (est) après une offensive rebelle, selon l'OSDH qui fait état de la participation du Hezbollah chiite libanais à ces combats.
D'ailleurs, un combattant du Hezbollah et neveu du ministre libanais de l'Agriculture Hussein Hajj Hassan a été tué mercredi à Qalamoun, selon une source proche du groupe.
Les combats continuent de faire rage sur d'autres fronts, malgré un appel de l'Iran et la Turquie à un cessez-le-feu avant la tenue d'une conférence de paix annoncée pour le 22 janvier par l'ONU qui cherche à mettre fin à la guerre qui a fait plus de 120.000 morts et poussé des millions de Syriens à fuir leurs foyers.
Le pouvoir syrien a annoncé sa participation à Genève-2 en soulignant que sa délégation y allait non pas «pour remettre le pouvoir mais pour dialoguer avec ceux qui soutiennent une solution politique».
Mardi, l'opposition a accepté d'aller à Genève mais insisté sur son «refus total de la participation d'Assad» dans un gouvernement transitoire.
Source:  http://www.20minutes.fr

Béjaïa : Réussite de la 2e édition du salon du livre

C’est aujourd’hui qu’aura lieu la clôture de la deuxième édition du salon du livre de Béjaïa, un évènement organisé par la maison de la culture Taos Amrouche, du 14 au 26 novembre, et qui a été prolongé de deux jours, à la demande de quelques maisons d’édition, vu l’engouement extraordinaire suscité par ce rendez-vous chez les lecteurs. 

Cette 2e édition, de l’avis des organisateurs, est une réussite totale, si l’on se réfère au nombre de participants et de visiteurs enregistrés. « Je pense que cette 2e édition est beaucoup meilleure que la première. C’est une réussite totale. D’abords, le nombre de maisons d’éditions qui ont participé à ce rendez-vous culturel a atteint une vingtaine, contrairement à l’an dernier où il y a eu moins d’exposants. Aussi, nous avons enregistré une affluence nombreuse de visiteurs. Il y avait notamment des étudiants, des enseignants, des jeunes, des femmes, mais aussi des parents accompagnés de leurs enfants pour l’achat des livres et guides scolaires », nous a indiqué, hier, la cellule de communication à la maison de la culture de Béjaïa. La particularité de cette édition est la forte présence des auteurs pour la vente-dédicace de leurs ouvrages. « Ce qui a donné un cachet particulier à cette édition est la présence des écrivains pour la dédicace de leurs livres. Nous avons accueilli plus d’une vingtaine d’auteurs, à l’instar de Rachid Oulebsir, Rachid Hitouche, Djamel Arezki, Brahim Tazaghart, Ahcène Mariche et Hakim Laâlam, qui a dédicacé son nouveau roman « La rue sombre au 114 bis». Cela a été une occasion pour les lecteurs de connaître les auteurs des livres qu’ils lisent et de faire connaissance avec eux. D’ailleurs, plusieurs d’entre eux ont été déjà contactés par des étudiants pour organiser des conférences au niveau des cités et campus universitaires de Béjaïa », indique la même source. Pour les maisons d’éditions, ce salon a été une aubaine pour booster un peu la vente des livres, surtout que l’évènement coïncide avec la période des examens comme nous l’a souligné, hier, l’un des exposants. « C’est pour la deuxième fois que je participe à cet évènement. Il y a eu un monde fou, notamment durant les week-ends. J’ai écoulé plus de 2 000 livres. Je pense que c’est le résultat des réductions faites sur les achats. Les neuf premiers jours, j’ai fait des réductions de 10%, avant d’augmenter les remises à 25 % durant les trois derniers jours. Je crois aussi que la coïncidence de ce salon avec la période des examens et des devoirs a beaucoup favorisé les ventes », nous a indiqué Brahim, représentant de la librairie Gouraya. La littérature berbère était aussi présente à ce salon par l’intermédiaire de la maison d’édition Tira qui a exposé des romans et des livres d’apprentissage en Tamazight. « Notre stand comprend des romans écrits en berbère et des livres didactiques pour l’apprentissage de Tamazight. Nous avons reçu des enseignants et étudiants en Tamazight, mais aussi des personnes qui veulent apprendre à écrire en berbère », nous a déclaré la représentante de cette maison d’édition.
Boualem Slimani
Source: DDK

Syrie: le chef militaire des rebelles dénonce les exactions des jihadistes

Les abus commis par les jihadistes en Syrie "nous sont étrangers" ...

 

Beyrouth - Les abus commis par les jihadistes en Syrie «nous sont étrangers» a affirmé mercredi le chef militaire de la rébellion syrienne dans une interview télévisée, assurant que les divisions entre rebelles étaient causées par le manque d'armes et d'argent.
«Ceux qui sont entrés en rébellion (contre le régime de Bachar al-Assad) sont connus et ce sont des musulmans, tout comme nous sommes musulmans», a déclaré Sélim Idriss, chef du Conseil militaire syrien, à la chaîne Al-Aan, basée à Dubaï.
Mais, «il y a ceux qui viennent de l'étranger (...) pour nous apprendre ce qu'est l'islam et qui veulent nous imposer leurs coutumes (...) étiquetant les gens comme musulmans, athées, hérétiques ou digne de décapitation», a-t-il ajouté assurant que de tels abus «nous sont étrangers et sont étrangers à la modération (...) de l'islam auquel nous voulons nous tenir».
Les déclarations de M. Idriss interviennent alors que des abus, tels que des exécutions brutales ou des enlèvements, sont rapportés presque tous les jours dans les régions où sont présents des jihadistes de l'Etat islamique en Irak et au levant (EIIL).
L'EIIL a combattu aux côtés de groupes rebelles dans certaines régions mais a également pris pour cible des combattants de l'opposition dans une tentative d'éliminer la concurrence au sein de la rébellion et de s'imposer comme unique autorité.
Dans son interview, M. Idriss a également reproché à certains combattants de l'EIIL d'agir en faveur du régime et accusé les groupes enlevant des journalistes étrangers de «travailler contre les intérêts de la révolution».
Bien qu'il soit respecté à titre personnel par les groupes rebelles, M. Idriss est à la tête d'un Conseil militaire qui a peu d'influence sur le terrain.
Les rebelles n'ont reçu «ni aide financière, ni arsenal suffisant, ni des véhicules ou des équipements de communication» qui auraient pu leur permettre de s'unir, a-t-il regretté, ajoutant que la fragilisation de l'opposition traditionnelle a ouvert la voie à l'implantation des jihadistes.
Dans des extraits de l'interview, dont la version complète sera diffusée jeudi, M. Idriss a également annoncé que le Conseil militaire syrien coordonnerait ses actions avec le «Front islamique» créé la semaine dernière et dont la charte, publiée mardi, annonce son intention d'établir un «Etat islamique».
«Je félicite nos frères de ce Front», a déclaré M. Idriss, ajoutant qu'un «grand nombre d'entre eux sont avec nous au sein du Conseil militaire syrien».

Classement FIFA : l’Algérie se hisse à la 26e place mondiale

L’Algérie a gagné six places et occupe désormais la 26e position au classement mondial de la Fédération internationale de football (FIFA) du mois de novembre publié par l’instance dirigeante du football mondial.


La qualification des Verts pour le mondial 2014 au Brésil aux dépens du Burkina Faso (1-0) en barrage retour explique cette progression des protégés de Madjid Bougherra au classement mondial.
Au niveau africain, l’Algérie garde sa troisième place au classement, devancée par la Côte d’Ivoire qui reste toujours la meilleure nation africaine (17e mondial) suivie du Ghana (24e,-1).
Les cinq mondialistes africains au mondial brésilien ont connu des fortunes diverses. Ainsi, le Cameroun et l’Algérie ont fait des bonds de 8 et 6 places respectivement, tandis que la Côte d’Ivoire reste scotchée à la 17e position et le Ghana a perdu une place.
Le Burkin Faso éliminé par l’Algérie a reculé de 6 places et glisse à la 58e position mondiale.
Le haut du classement mondial reste inchangé à l’issue d’une compétition préliminaire de la Coupe du Monde 2014 qui aura totalisé 820 matches. L’Espagne mène toujours la danse, suivie de l’Allemagne, de l’Argentine et de la Colombie.
Grâce à ses deux victoires en barrages face à la Suède, le Portugal (5e, plus 9) réintègre le Top 10, tout comme le Brésil (10e, plus 1) victorieux en amical face au Honduras (41e, moins 7) et au Chili (15e, moins 3). La Belgique (11ème, moins 6) et l’Angleterre (13e, moins 3), toutes deux invaincues durant leur campagne de qualification, se sont pourtant inclinées à deux reprises à domicile en amical.
A l’exception de l’Ukraine (18e, plus 2), les 20 meilleures équipes du classement seront de la partie au Brésil l’an prochain, tandis que l’on retrouve trois mondialistes au-delà de la cinquantième place, à savoir le Cameroun (51e, plus 8), la République de Corée (54e, plus 2) et l’Australie (59e, moins 2).
A Titre indicatif, les têtes de série que l’on retrouvera dans le premier chapeau lors du tirage au sort final du 6 décembre ont été déterminées sur la base de l’édition d’octobre du classement.
Le prochain Classement mondial de la FIFA sera publié le 19 décembre 2013.

Marne: un bijoutier abat un braqueur

Un bijoutier de Sézanne, dans la Marne, a fait feu sur son agresseur venu le ce jeudi vers 16h30, indique Le Parisien. Le malfaiteur était entré avec un complice dans la boutique une arme à la main. Le bijoutier a alors répliqué avec une arme de poing.


Le bijoutier se trouvait au premier étage au moment du cambriolage. Alerté par les cris de son épouse, seule dans la boutique, il est descendu avec une arme. Deux hommes armés se trouvaient dans la boutique. Selon le quotidien d'Île-de-France, le bijoutier a fait feu à quatre reprises.

"Les deux individus sont sortis, le blessé s'est effondré devant la bijouterie alors que le complice a pris la fuite, a relaté Christian de Rocquigny, le procureur de Châlons-sur-Marne.

Cet homme "est activement recherché par les gendarmes. L'autre individu est mort sur place à 17h30, malgré l'arrivée des secours", a précisé le magistrat.

Le pronostic vital du braqueur était "engagé" au moment de sa prise en charge par les secours, a précisé . "Il est mort à la suite de ses blessures".

Le Cameroun officiellement au Mondial-2014, la Tunisie déboutée

Le Cameroun sera bien présent au Brésil pour la Coupe du monde 2014. La réclamation de la Tunisie concernant la présence des joueurs Éric Choupo-Moting et Joël Matip lors des barrages du Mondial a été déclarée irrecevable par la Fifa.

Par Sylvain MORNET 

 
Sans surprise la Fifa a indiqué jeudi 28 novembre que la réclamation posée par la Tunisie à l’issue des barrages retour du Mondial-2014 n’était pas fondée. La Fédération tunisienne de football (FTF) avait émis des réserves contre deux joueurs des Lions indomptables : Éric Choupo-Moting et Joël Matip. Selon l’instance du football tunisien, ces deux footballeurs qui avaient joué pour l’Allemagne en sélection de jeunes, n'auraient pas reçu l'autorisation nécessaire de la part de Fifa pour porter les couleurs de la sélection du Cameroun.

Or les deux joueurs en question sont des internationaux confirmés. Ils portent les couleurs du Cameroun depuis 2010. Ils ont même participé au dernier Mondial en Afrique du Sud sous les couleurs des Lions indomptables.
"Aucune violation des règlements de la Fifa"
La décision de la Fifa ne faisait donc guère de doute. "En ce qui concerne la protestation déposée par la Fédération tunisienne de football en rapport à la qualification des joueurs camerounais Eric Choupo-Moting et Joël Matip, la Fifa a communiqué à la Fédération de Football Tunisie aujourd'hui [le 28 novembre, ndlr] qu'aucune violation des règlements de la Fifa a été commise par la Fédération camerounaise de football", a indiqué le département média de l’instance du football mondial.
Dès lors, le Cameroun de Samuel Eto'o, vainqueur des barrages face à la Tunisie (0-0 à l’aller à Rades et 4-1 au retour à Yaoundé), est officiellement qualifié pour la Coupe du monde 2014 au Brésil.
Source: France24

Evadé de Nantes: la police lance un appel à témoins

Stéphane Goetz fait désormais l'objet d'un appel à témoins. Ce détenu de la maison d'arrêt de Nantes, qui s'est évadé mercredi matin lors d'un transfert vers l'hôpital, est activement recherché par la police.

Stéphane Goetz, précise la police dans l'appel à témoins qu'elle lance jeudi, mesure 1m72 et est de "corpulence athlétique". Toute personne possédant des informations est invitée à contacter la direction interrégionale de la police judiciaire de Rennes au 02 99 79 87 87.

Scooter noir

Cet homme de 27 ans, qui purgeait une peine pour tentative d'assassinat, avait dissimulé sur lui une lame de cutter qui n'est pas apparue à la fouille. Il s'en est servi pour blesser trois surveillants une fois arrivé au CHU, mercredi vers 10h15.

Une fois dans la rue, l'homme a tenté de monter à bord d'un véhicule, mais un surveillant est intervenu. Un scooter noir, piloté par un individu non identifié, est alors arrivé et l'homme est monté dessus avant de fuir.

Le budget marketing de Samsung dépasse le PIB du Sénégal

Samsung aura dépensé, en 2013, la somme record de 14 milliards de dollars en publicité et marketing, d’après Reuters. Aucun autre groupe n’arrive à la cheville du sud-coréen. Pourtant, cet argent n’est pas toujours bien utilisé

 

Par Sébastian SEIBT 
Si la division marketing et publicité de Samsung était un pays, elle se classerait à la 121e place mondiale. Ce bras lourdement armé du constructeur sud-coréen a disposé d’environ 14 milliards de dollars (10,3 milliards d’euros) en 2013, d’après les dernières estimations de Reuters publiées jeudi 28 novembre. C’est davantage que le PIB total d'un pays comme le Sénégal (13,8 milliards de dollars) ou l’Islande (13,6 milliards de dollars).


Une manne d’argent sans commune mesure dans toute l’industrie. Le principal concurrent de Samsung dans le monde des smartphones et tablettes, Apple, n’a, de son côté, alloué qu’un peu plus d’un milliard de dollars pour promouvoir ses produits. Même au-delà du secteur technologique, la division marketing de Samsung est dans une galaxie à part : le géant automobile General Motors a dépensé, d’après les calculs de Reuters, un peu plus de 5 milliards de dollars en publicité et marketing.
Pour la star sud-coréenne de l’électronique grand public, ce serait de l’argent bien investi. “Nos innovations et notre stratégie marketing ont permis à Samsung d’être la marque de smartphone préférée au monde”, a réagi J.K. Shin, patron de la division mobile du constructeur. Il est vrai que ses smartphones écrasent tout sur leur passage : Samsung possède 32% des parts de marché du secteur, loin devant Apple qui n’en détient que 12%.
“Quand votre marque n’a pas d’identité claire, et c’est le cas de Samsung [qui outre des smartphones, vend aussi des télévisions, des machines à laver, etc. Ndlr], continuer à dépenser pour promouvoir son image est probablement la bonne stratégie”, reconnaît Moon Ji-hun, un consultant sud-coréen spécialisé dans les nouvelles technologies. Reste que l’activisme publicitaire et promotionnel de Samsung l'a, plus d’une fois, desservi.

Le citron est 10.000 fois plus puissant que la chimiothérapie !

Le citron (citrus) est un produit miraculeux pour tuer les cellules cancéreuses.
Il est 10.000 fois plus puissant que la chimiothérapie.
Pourquoi ne sommes-nous pas au courant de cela?

Parce qu’il existe des laboratoires intéressés par la fabrication d’une version synthétique qui leur rapportera d’énormes bénéfices.
Vous pouvez désormais aider un ami qui en a besoin en lui faisant savoir que le jus de citron lui est bénéfique pour prévenir la maladie.
Son goût est agréable et il ne produit pas les horribles effets de la chimiothérapie.
Si vous en avez la possibilité, plantez un citronnier dans votre patio ou votre jardin.
Combien de personnes meurent pendant que ce secret est jalousement gardé pour ne pas porter atteinte aux bénéfices multimillionnaires de grandes corporations ?
Comme vous le savez, le citronnier est bas, n’occupe pas beaucoup d’espace et est connu pour ses variétés de citrons et de limes.
Vous pouvez consommer le fruit de manières différentes: vous pouvez manger la pulpe, la presser en jus, élaborer des boissons, sorbets, pâtisseries, …
On lui attribue plusieurs vertus mais la plus intéressante est l’effet qu’elle produit sur les kystes et les tumeurs.
Cette plante est un remède prouvé contre les cancers de tous types. Certains affirment qu’elle est de grande utilité dans toutes les variantes de cancer.
On la considère aussi comme un agent anti microbien à large spectre contre les infections bactériennes et les champignons, efficace contre les parasites internes et les vers, elle régule la tension artérielle trop haute et est antidépressive, combat la tension et les désordres nerveux.
La source de cette information est fascinante: elle provient d’un des plus grands fabricants de médicaments au monde, qui affirme qu’après plus de 20 essais effectués en laboratoire depuis 1970, les extraits ont révélé que:
Il détruit les cellules malignes dans 12 types de cancer, y compris celui du côlon, du sein, de la prostate, du poumon et du pancréas…
Les composés de cet arbre ont démontré agir 10.000 fois mieux que le produit Adriamycin, une drogue chimiothérapeute normalement utilisée dans le monde, en ralentissant la croissance des cellules du cancer.
Et ce qui est encore plus étonnant: ce type de thérapie avec l’extrait de citron détruit non seulement les cellules malignes du cancer et n’affecte pas les cellules saines.

27/11/2013

Canada :nouveaux hijab pour la police d'Edmonton

Dans une volonté d'attirer plus de femmes musulmanes dans leurs rangs, les services de police d'Edmonton développent un prototype de hijab pour les officiers femmes.

Selon Metro Edmonton, deux modèles sont à l'étude, dotés de broches pour permettre d'ôter rapidement le tissu et conçus de manière à ne pas obstruer la vision ou la respiration de l'officier.
Natasha Goudar, de l'unité Équité, diversité et droits de l'homme, a indiqué au Edmonton Sun que les officiers travaillaient avec les communautés musulmanes et les imams pour s'assurer du respect des spécificités culturelles et religieuses.
«L'une des plus grandes préoccupations était d'apporter une notion éducative à l'introduction du hijab. On ne voulait pas simplement apporter ce nouvel élément et ne jamais en discuter», a-t-elle déclaré lors d'une conférence de la commission de la police d'Edmonton, la semaine dernière.
L'arrivée du hijab fait partie d'une stratégie plus large visant à attirer plus de femmes au sein des autorités, a-t-elle expliqué à Global News.
«Nous voulons plus de femmes dans la police. Et les femmes sont aussi musulmanes. Ainsi, tout comme nous travaillons à briser les barrières religieuses et culturelles, nous y voyons une opportunité de combattre les préjugés envers les femmes policières.»
Pour Scott McKeen, conseiller municipal d'Edmonton, cette démarche est un «geste d'acceptation» de la communauté musulmane. Il s'est dit aussi heureux d'aller à l'encontre de l'idée selon laquelle l'Alberta serait «légèrement redneck», lors d'une entrevue accordée au National Post.
Il a aussi déclaré lors de la commission que le geste est d'autant plus fort que le Québec pourrait interdire le voile.
«Cela arrive à une époque où une autre province va dans une direction opposée.»
«Pour cette raison, je suis très impressionné.»
Natasha Goudar a indiqué à Global que son unité était en train de finaliser le projet, qui sera présenté à la direction du comité vers la fin de l'année.
Sourec:  http://quebec.huffingtonpost.ca

Libye : Tamazight sera enseignée officiellement dans les écoles de la région amazighe

TRIPOLI (SIWEL) — La langue amazighe ou le Tamazight , va être enseignée comme une matière officielle dans les écoles des régions amazighes à partir de Janvier 2014, a déclaré au journal anglophone Libya Herald Mustafa Ajala , chef du cabinet du ministre de l'Éducation Mohammed Hassan Abubaker.

 

 le ministre, dit-il, avait donné des instructions pour commencer les cours dans cette langue à partir du deuxième semestre de l'année scolaire en cours. Les cours seront donnés aux élèves du primaire de 1ère à la 4ème année. Il sera enseigné trois fois par semaine à la 4e année.

L’enseignement de Tamazight sera obligatoire et non pas facultative comme c’est le cas en Algérie depuis 1994. En effet, et selon Mustafa Ajala: " Tamazight sera une matière de base obligatoire dans toutes les écoles des régions amazighes et elle disposera d'un espace privilégié dans les rapports et les bulletins des élèves ». "

Il convient de noter que le ministère a déjà donné le 25 Septembre des instructions pour lancer l'impression des livres dans la langue de Said Mahroug Sifaw, Mouloud Mammeri et Mohamed Chafik.

Des enseignants amazighophones, qui instruisent déjà d’autres matières sont, pour ceux qui l’ont souhaités, déjà formés pour prendre des cours de la langue Amazighe, a précisé Mustafa Ajala. Ceci qui veut dire que Tamazight est déjà enseignée dans plusieurs écoles des régions amazighes , mais sur une base non officielle.

Toutefois il n'existe, pour le moment, aucun plan pour les écoles pour enseigner toutes les matières, telles que les mathématiques, les sciences, la technologie, la physique ou la chimie en Tamazight. Mais c’est une question de temps une fois que l’enseignement des sujets de base de Tamazight, comme la grammaire, la conjugaison, l’orthographe, etc. seront enseignés obligatoirement et pris en charge par l’état officiellement.

Enfin sur le plan strictement politique, le statut de la langue Amazighe continue toujours à être une source de discorde au parlement Libyen le Congrès National General. Le dimanche 24 Novembre, malgré que la majorité des membres de ce Congrès ont montré leur accord verbal pour en faire de Tamazight une langue officielle, mais lorsque c’est arrivé au vote seulement 108 sur 121 votes nécessaires pour l'approuver, ont voté pour. Ce qui a irrité le Haut Conseil des Amazighs de Libye, qui est en train de se réunir en ce moment pour envisager d’autres solutions politiques qui vont protéger le Tamazight. Un des membres de cet organisme dit : «Bien que la plupart des Libyens semblent indifférents si la langue soit reconnue ou non comme langue officielle, il y a un petit groupe anti- amazigh au sein du Congrès qui est déterminé à voir l'arabe comme seule langue officielle de la Libye». Ce petit groupe est, selon Aner Ali, un militant Amazigh de Nalut dans l’Adrar Neffusa, est télécommandé par certains pays et nous avons des preuves, que nous dévoileront un jour.

At Bucnan
SIWEL 270832 NOV 13

La France vend à l’Algérie des vaches malades

 Par Saïd Tissegouine

Scandaleux ! Insensé ! Inadmissible… ! La France, pays qui jouit de la confiance de l’Office International des Epizooties (O I E), vend à l’Algérie des vaches malades. La preuve de cette arnaque qui risque de causer un grand préjudice au cheptel algérien est donnée l’année dernière par l’opération menée par l’importateur algérien, en l’occurrence le nommé Ali Bouchareb, demeurant à Aïn-témouchent et ayant le registre de commerce n°46/000842571 B10, contre l’éleveur Atmane Aouanouk demeurant au village de Timerzouga, commune de Fréha (Tizi-Ouzou).

Celui-ci, possédant déjà une quinzaine de vaches, a voulu augmenter le nombre de têtes de son bétail. C’est pourquoi, il a fait appel à Ali Bouchareb, importateur légal de cheptel, en lui faisant une commande de 20 vaches. Le prix de celles-ci, comme l’atteste la facture pro forma, est de 6. 634. 000, 00 DA. Il se trouve que ces vaches dont l’arrivage en Algérie a eu lieu au port d’Oran n’ont pas subi au niveau de LAZARET dudit port le test appelé la « tuberculination » pour déterminer si elles n’étaient pas atteintes de la tuberculose.
Le service vétérinaire compétent, en l’occurrence le service vétérinaire de Hammam Bouhadjar (Aïn Témouchent) s’est seulement contenté de la tuberculination qui aurait été faite au niveau du LAZARET de France. Les documents fournis à l’acheteur, c’est-à-dire à la victime, l’attestent. En effet, le service vétérinaire a fait subir aux 20 vaches les tests (réexamen) portant la brucellose, la leucose et l’IBR mais pas le test concernant la tuberculose. C’est cette maladie justement qui ruinera le client de l’étrange importateur.
Atmane Aouanouk prendra livraison de son cheptel le 27 décembre 2012. Comme il a pour règle de faire subir périodiquement des tests pour cheptel, plus exactement tous les six mois, voilà donc qu’il s’adresse au service vétérinaire de Fréha en date du premier juin 2013. Ce service détecte la tuberculose chez sept (07) vaches parmi celles acquises auprès de l’importateur, Ali Bouchareb, c’est-à-dire les vaches importées de France. Ces vaches, de race montbéliarde ; ayant réagi positivement au test sont référencées comme suit : 151422610003, 15667010001, 156667010007, 15667010010, 15667009003, 15142261002 et 151422613001. Sur demande du propriétaire, une expertise est établie par l’inspection vétérinaire de Tizi-Ouzou. La tuberculose est confirmée. Dès lors, l’ordre d’abattage des vaches malades est donné au malheureux propriétaire.
Le 07 octobre 2013, l’opération d’abattage est exécutée. Elle a eu lieu à l’abattoir d’Azazga. Les certificats délivrés par le Dr Nora Aknouche du service vétérinaire de l’abattoir d’Azazga et du Dr Bouadi N. épouse Challal le confirment. Au même moment, le reste du cheptel est mis en quarantaine. Depuis donc la détection et la confirmation de la tuberculose auprès de sept de ses vaches, Atmane Aouanouk est sommé de mettre son cheptel en quarantaine. Et ce qu’il a fait, et ce, rappelons-le, depuis le premier juin de l’année en cours.
Ses malheurs ayant pour source l’arnaque de l’importateur Ali Bouchareb ne sont pas pour autant terminés. Et comment ! Quand il a pris livraison de ses vaches montbéliardes, sept d’entre-elles n’avaient pas de boucles d’oreilles, c’est-à-dire leur fiche d’identité ou d’immatriculation. « A la question de savoir pourquoi elles n’avaient pas leurs boucles, Ali Bouchareb m’a répondu qu’elles étaient tombées dans le bateau, lors du voyage », a déclaré à notre intention Atmane Aouanouk. C’est pour cette raison aussi qu’il n’a pas assuré son cheptel importé. Par ailleurs, la vache portant le numéro 3803132689 a été reconnue et déclarée, après examen de fouille rectale en date 06 janvier 2013 par le Dr M. Kacimi, exerçant à Fréha, comme « non gestante ». Or la loi concernant l’importation de vache stipule que « toute vache importée doit être état de gestation ». Comme geste réparateur, Ali Bouchareb a remis une vache à sa victime mais celle-ci sera réformée. « Quant aux boucles d’oreilles manquantes, lesquelles constituaient toujours un obstacle pour l’assurance, témoigne Atmane Aouanouk, l’importateur m’a assuré que je pouvais faire des analyses et que je pouvais compter sur lui en cas de besoin, c’est-à-dire que c’est lui qui devait faire face à toute réparation en cas de nécessité ».
« Il se trouve, ajoute notre interlocuteur, que lorsque je suis déplacé jusqu’à sa ferme de Aïn-Témouchent pour l’informer de mon infortune et, par conséquent, lui rappeler ses engagements, il m’a envoyé faire paître ». « « Si tu veux obtenir réparation, adresse-toi à la justice mon petit gars ! », m’a tout simplement rétorqué Ali Bouchareb », a précisé Atmane Aouanouk.
Pour l’heure, la victime n’a que ses yeux pour pleurer et compter ses pertes qui s’élèvent à presque 10. 000, 00 DA par jour, sans compter les autres vaches qu’il a perdues et toujours parmi celles figurant parmi le lot d’importation. L’une est morte un mois et demi après son arrivée et au bout de 20 jours de maladie et la seconde trois mois après son arrivée. En tout donc, la victime de Ali Bouchareb a perdu neuf vaches. « Le prix d’une vache est de 328.000, 00 DA », reconnaît notre interlocuteur. La valeur totale des vaches perdues est de l’ordre donc de 2.952.000, 00 DA. Par ailleurs, depuis cette mise en quarantaine, le cheptel de Atmane Aouanouk consomme 15 bottes de foin et 08 quintaux d’aliment par jour. Le prix de botte est 600, 00 DA et le quintal d’aliment est 3.400, 00 DA. Enfin, deux travailleurs permanents dont le salaire mensuel de chacun est de 30.000, 00 DA. « Pendant toute la durée de la mise en quarantaine de mon cheptel, je n’ai pas le droit de vendre un quelconque animal », a déclaré Atmane Aouanouk. « Cependant, assure notre interlocuteur, je n’obtiens pas réparation pour le pertes les préjudices occasionnés par cette affaire, je déposerai plainte contre X et c’est la justice, elle seule, qui déterminera les différents niveaux de responsabilité ».
Mais en attendant que la justice fasse la lumière sur cette gravissime affaire, il y a lieu de s’interroger sur le pourquoi du non de la tuberculination dans l’espace du LAZARET d’Oran par les services vétérinaires compétents algériens. Pourquoi s’est-on contenté seulement de l’examen effectué au niveau du LAZARET français ? Cette question en entraîne d’autres. En effet, il y a lieu de s’interroger combien de vaches importées de l’étranger, de France notamment, n’ont pas été soumises à la tuberculination par les services vétérinaires algériens ? Combien d’éleveurs ont renforcé leurs cheptels par les vaches d’importation. Combien parmi ces éleveurs ont vendu à leur tour les vaches importées et à qui et dans quelles régions ?
La complexité de la question nous a poussé à nous rapprocher d’une notoriété vétérinaire à Tizi-Ouzou, le Dr Mohamed Lakhel en l’occurrence, et dont les travaux scientifiques font incontestablement autorité. Voici l’entretien :
- Tamurt : Est-ce que la tuberculose animale est transmissible à l’homme ? Si c’est oui, comment ?
- Dr Lakhel : Oui naturellement. La tuberculose animale est transmissible à l’homme par voie d’inhalation, par voie digestive après consommation du lait cru et de ses dérivés et/ou de viande mal cuite. Et lorsqu’on sait qu’il y a souvent un abattage qui se fait en dehors des établissements agréés et l’utilisation de lait cru dans la transformation ou la vente directe dans les crèmeries non contrôlées, le risque est vraiment énorme. Il s’agit d’un véritable danger pour la santé publique.
- Tamurt : D’où peut à votre avis provenir la tuberculose chez les vaches d’importation ?
- Dr Lakhel : Pour le savoir et le déterminer avec exactitude, il faudrait mener une enquête épidémiologique sur l’ensemble des vaches importées pour arriver à la source de contamination.
- Tamurt : Est-il raisonnable que nos éleveurs fassent confiance aux importateurs ?
- Dr Lakhel : Il ne s’agit pas de faire ou de ne pas faire confiance aux importateurs. Il s’agirait plutôt que les éleveurs fassent confiance à l’autorité vétérinaire, seule garante de la qualité sanitaire des produits animaliers et du cheptel introduits en Algérie.
- Tamurt : Est-ce que la tuberculose existe en Europe, particulièrement la France, principal pays fournisseur de vaches de l’Algérie ?
- Dr Lakhel : La tuberculose constitue actuellement une maladie ré-émergente dans beaucoup de pays. Et puisque vous citez l’exemple de la France, je vous informe que ce pays risque de perdre son statut de pays officiellement indemne de tuberculose auprès de l’Office International des Epizooties après une augmentation significative du nombre de cas de tuberculose chez le cheptel laitier et surtout dans les zones à forte densité d’animaux sauvages atteints, à l’instar du sanglier, du cerf et du blaireau qui sont les principaux réservoirs et vecteurs de la tuberculose.

 source:  http://www.tamurt.info

L’imam Tareq Oubrou s’insurge : «Le hijab n’a rien de sacré»

«Je n’ai trouvé aucun texte qui oblige la femme à se couvrir la chevelure. Le combat que les musulmans ont mené pour le port du voile me désole, parce qu’il donne une image négative de la façon dont l’islam perçoit la femme», a déclaré Tareq Oubrou, imam de Bordeaux, dans une interview accordée àL’Express.

Religieux érudit, cet imam français d’origine marocaine, prône un islam moins «tape-à-l’œil» et appelle à un ajustement des pratiques rituelles avec les réalités de la société.
«Cette tendance à tout ritualiser conduit certains fidèles à parler plus de la pratique que de Dieu lui-même», regrette-t-il. Ce fils d’instituteur marocain, élevé aux confluents de la tradition musulmane et de la modernité occidentale, n’hésite pas à s’en prendre aux «ignares qui déterminent aujourd’hui ce qui est orthodoxe». Auteur du livreUn imam en colère, Oubrou dénonce vivement «l’islam d’apparence», affirmant que le plus important n’est ni le look ni la tenue vestimentaire, mais plutôt la foi. «On est musulman lorsqu’on a la foi ; c’est la grâce de Dieu qui sauve.

Les pratiques cultuelles, elles, sont aménageables», martèle-t-il, estimant que l’islam est «une religion qui évolue avec l’évolution de la société». Il considère, à titre indicatif, que les prières peuvent être effectuées après le travail et que le jeûne du Ramadhan peut être reporté en cas de maladie. Pour lui, l’islam se trouve confronté à un vrai problème, celui des comportements qui relèvent de l’éthique personnelle et qui sont devenus des marqueurs pour beaucoup de musulmans : manger halal, porter le voile, etc. «Avec le halal, nous ne sommes pas dans le sacré. Le fidèle a seulement pour obligation d’alléger au maximum la souffrance de l’animal», explique-t-il. Il assure en bon théologien que le hijab et ses dérivés (niqab, foulard, burqa…) n’ont absolument rien de sacré.


Tareq Oubrou appelle les musulmans à ne pas confondre religion et identité. Il demande aux musulmans de renoncer «à une certaine visibilité» pour redorer leur blason. «Il faut que les musulmans puissent accorder leurs gestes à leur foi sans perturber le fonctionnement de la société par des revendications outrancières, quitte à renoncer à une certaine visibilité», estime cet imam qui a mené une vaste réflexion théologico-canonique sur les conditions de l’expression et de la pratique musulmane dans un espace sécularisé.
Sonia B.
Source: algerie360

Plus d’un million d’Algériens candidats à l’émigration

Sans vergogne le premier ministre, dilapidant le trésor public, s’évertue à violer la conscience algérienne pour vanter le bilan du chef de l’Etat. Nous nous emploierons dans cet espace à exposer les résultats de ce règne.


Commençons aujourd’hui par prendre connaissance des études traitant de l’émigration qui est un bon indicateur de la qualité de la vie dans un pays et de ses capacités à former et garder ses cerveaux. De quoi ébranler celui de M. Sellal.

Selon différentes sources, entre l’année 2000 et l’année 2012, soit 12 ans,  1100 000 Algériens se sont inscrits dans les multiples programmes  d’immigration  proposés  par des pays comme le Canada, les États Unis, les pays du Golf et  l’Australie. Bien qu’il soit difficile de cerner les milliers  de  départs vers l”Europe, on évalue  à   quelques 13 %   le nombre de  ceux qui ont vu leur demande acceptée. Pour un pays de la taille de l’Algerie,   ces données  sont  terrifiantes .Ainsi,  le désir de quitter le pays s’est accru, dès les années 2003, d’environ 9% par rapport au mouvement migratoire des années 1989-2000. Les Etudes des Nations Unies(migration and development in the arab region ) faites en 2006 par le département des affaires économiques et sociales , livrent  des    indications fort intéressantes pour l’analogie concernant  la période de 2000 à 2012 où le point d’orgue de la statistique  repose sur   2005, année   ayant vu   93 000 d’Algériens  se porter candidats pour partir a l’étranger. 
Ce chiffre  s'avère  nettement supérieur aux  années  96-97 lesquelles  se sont aussi  distinguées  par une très forte demande d’immigration si on prend  comme référence,  les dossiers d’Algériens  envoyés   au National Visa Center à Portsmouth, New Hampshire avant qu’il soit transféré à Lennoxville dans le Kentucky.
Cette catégorie de demandeurs  touche les universitaires, les techniciens spécialisés et les ouvriers qualifiés. En somme,  la situation algérienne devient édifiante dans la mesure   où elle démontre un système d’éducation effondré dans lequel la promotion  ne se base ni sur le mérite ni sur la compétence. C’est justement cette situation qui  a  poussé vers l’exil, l’encadrement valable. Cependant , et  si  les données de la Word News University  des années 90-2000  nous ramènent  a un chiffre de 110 000 à 115 000  universitaires algériens de standard requis partis vers les pays comme la  Russie, l’Allemagne , l’Arabie saoudite ,les Emirats, la grande Bretagne , le Qatar,  la  France, le Canada, l’Australie et  l’Espagne ,   la question des cerveaux ou des spécialistes de renom  ayant coupé avec le pays ou refusant d’y revenir  ,  donne le frisson.  
Le Worldwide  Brain Drain mentionne le chiffre de 40 milliards de dollars causés par les fuites de cerveaux dans les années 90-2000. L’extrapolation de ce chiffre porte le préjudice subi par le pays à un   montant de 90 milliards de dollars pour la période  2000-2012. Aujourd'hui, nul ne peut nier que le   pays qui perd ses bonnes ressources humaines, perd aussi en vraie croissance ;  compensée par ce que  l’économiste en chef de la Banque mondiale, Christoph Ruehl appelle  la   croissance artificielle des hydrocarbures . Mais ce n'est pas là l'unique problème de l'Algérie puisque  la corrélation est si frappante lorsque l’Algérie est devenue  en un temps record,  le foyer international des projets envenimés par  la surfacturation (connu sous le vocable Overcharging ou Overinvoicing). A titre d'exemple : parmi les  9 compagnies canadiennes qui font affaire avec l’Algérie, 7  se sont perfectionnées dans la surfacturation (voir commission Charbonneau de Montréal). Il est utile de préciser que   certaines sociétés qui viennent en Algérie se trouvent émerveillées par la qualité'  des négociateurs qui, non seulement sont corrompus à l'extrême,  mais souverainement incompétents en affaires. Un petit historique dévoile qu'Alger s'est trouvé dans la plus part des cas  arnaqué en intra-muros comme en extra-muros Lorsqu'on découvre le pot aux roses, généralement trop tard, l’Algérie  réagit épidermiquement au point remettre  en cause même  le principe élémentaire de l'investissement.
Mais qui a dit que  la corruption n'a pas  sa « version nationale et patriotique? »   

ML Zouaimia
Source:  http://www.algerie-express.com

Said Sahnoune : « Oui j’ai travaillé avec le Mossad »

L’Algérien Saïd Sahnoune, condamné par la justice pour espionnage au profit du Mossad et de l’Espagne, vient de formuler une demande d’asile en Espagne. « Je suis actuellement dans une zone de transit avec mon fils mais j’ai laissé ma femme et mes deux filles en Algérie », a assuré à TSA, ce mercredi 27 novembre, M. Sahnoune, joint au téléphone. 

Son affaire remonte à la fin de l’année 2005. Said Sahnoune a été arrêté en Algérie. Deux ans plus tard, il est condamné à dix ans de prison ferme pour espionnage au profit des services secrets israéliens et de l’Espagne. « Le procès s’est tenu à huis clos à Tizi-Ouzou. J’ai passé six ans et demi en prison et j’ai été libéré en juillet 2012, après avoir bénéficié de différentes grâces », explique-t-il.
M. Sahnoune ne dément pas avoir travaillé avec le Mossad dès 1999 ou avec les Espagnols sur des affaires liées au terrorisme mais « jamais sur l’Algérie », selon lui. « Le DRS était au courant dès le début que j’étais en relation avec eux. Je remettais des copies des dossiers aux services algériens », affirme-t-il.
Se présentant comme journaliste d’investigation, Saïd Sahnoune préfère parler d’infiltration du Mossad pour son propre compte. « Le Mossad et les Espagnols m’ont payé », ajoute toutefois notre interlocuteur.
Les raisons ayant motivé sa demande d’asile ? « La condamnation injuste, les deux ans de mandat de dépôt », explique-t-il. « Dans mon dossier, il n’y a rien. J’ai travaillé avec le Mossad sur le terrorisme mais jamais sur l’Algérie. Je n’ai jamais nui à l’Algérie. Il n’y avait pas d’espionnage », insiste M. Sahnoune qui estime qu’il a été victime d’une lutte de clans.
Source: TSA

Une tentative de kidnapping déjouée à Iloula Oumalou

Une tentative de kidnapping d’un propriétaire d’un débit de boissons alcoolisées illégal, situé à Boubhir a été déjouée hier grace à la mobilisation des habitants d’Iloula Oumalou, 50 km à l’est de Tizi-Ouzou, a-t-on appris.


Vers 21 h, quatre individus armés se sont reproché du débit de boissons et ont embarqué avec force son propriétaire, Karim I. 45ans, à bord d’un fourgon volé.

L’information s’est vite répondue et les villageois se sont vite mobilisés pour la libération de la victime. Les villageois ont barricadé toute les issus de la région ce qui a empêché les ravisseurs à fuir vers Akbou, ils étaient contraint de prendre la fuite à pied vers le village Agoussim.

Le frère de la victime, de son coté, a été blessé par les ravisseurs par une balle à la jambe et il a été évacué à l’hôpital d’Azazga.

Madjid S.
source: http://www.dnkabylie.com

25/11/2013

Said Moh U Said la mascotte de Mayache n’est plus!





Said Boumediene né en 1944 est décédé ce matin sans trop souffrir. Chaque jour on enregistre la disparition d’êtres chers qui nous quittent dans l’anonymat.
Mais la mort de Said Boumediene dit Said Moh U Said est une nouvelle qui avait fait vite le tour de la région.

Il est un personnage atypique et très connu de tous. Il est du village Ait Said ou Mayache, de la commune de Mizrana, situé à 5 km de la ville de Tigzirt
Les villages de Kabylie regorgent en elles  des trésors de traditions de coutumes des secrets d’une population qui a traversé des siècles et des siècles sans perdre son identité.
Parmi ces valeurs l’on cite la place de chaque individu dans le village. Pauvre et riche, fort et faible, chaque individu a sa place parmi les siens.
Rare de trouver un village où l’on ne trouve pas une personne dite particulière. Généralement ce sont des handicapés physiques ou mentaux. Ces gens sont tout au fond supportés et aimés  par tous. Ils font partie de l’identité, de la description de l’ambiance et de la particularité du village et de la vie dans la cité.
Said Moh U Said a vécu 70 ans sans quitter le village. Depuis son enfance il était victime d’une attaque cérébrale qui avait touché une partie de son cerveau et une autre paralysie dans la partie droite de son corps.
Il avait été ainsi contraint de vivre handicapé à vie.  Au village on l’appelle Said Agoun , qui veut dire le muet. A vrai dire il parle, il hurle, il communique avec un langage difficile à comprendre pour un étranger au village.
Pendant ses 70 ans de vie il portait en lui l’innocence d’un enfant.
En dépit de l’avance dans l’âge, Said avait un cerveau et une capacité mental qui n'a jamais dépassé celle d’un enfant de 6 ou 7 ans.
Il n’était pas agressif, il n’était  pas vulgaire. Sa mère est morte depuis son jeune âge. Il a été prit en charge par la femme à son père jusqu’au derniers souffle de sa vie.

Il inspire confiance et innocence pour tout le monde. Toute sa vie, il ère d’une maison à une autre. On l’accueil, on lui sert à manger et il reste autant qu’il veut sans se lasser de lui ou chercher à le refouler.
Il avait une habitude de demander de l’argent aux gens. Mais il en demande que des pièces. Ils refusent de prendre des billets. Lorsqu’il rencontre une personne qui lui inspire beaucoup de confiance, il lui demande de l’aider à bien fermer son bout de mouchoir où il range sa caisse de la journée, où qu’il lui demande de lui fermer ses lacets, lui qui était handicapée et avait souvent besoin d’assistance.
Il était resté fidèle à ses coutumes et ses traditions. Pendant toute sa vie il portait une gandoura, même s’il met un pantalon à l’intérieur.
Il était un homme atypique, une mascotte aimée et respectée par tous. Lorsqu’il rencontre des gens, ils leur disent toujours « Bonjour! » « je te souhaite la réussite et le bonheur !». Des mots qui réchauffent le cœur sur fond d’innocence.
Oui des mots, une silhouette, des phrases, un langage, une tradition, un repère, un homme qui va manquer aux habitants de ce village et de tous les gens qui l’ont connu.
Allah Yarham
Mourad Hammami