L’Algérie traverse actuellement une période de transition touchant un ou
plusieurs des facteurs clés de sa stabilité et les actions de l’actuel
gouvernement face aux événements en cours dans le pays pourraient
entrainer vers une voie négative, constate la société américaine de
notation et d’analyses des risques MEA-Risk. Cette dernière vient
d’attribuer la note B pour l’Algérie.
Cela signifie que l’Algérie est au plus haut niveau de stabilité avec un résultat de 50,7 sur une échelle de mesure de 1 à 100. Le contexte de l’avant élection présidentielle de 2014, marqué par un flou, est avancé par cette agence de notation pour tirer ses conclusions précitées.
Toujours selon cette société de suivi, d’analyse et de notation de pays d’Afrique du Nord, du Sahel, d’Afrique Sub-Saharienne et du Moyen-Orient, basée en Amérique du Nord, “l’Algérie est confrontée à une période de transition trouble et sans transparence au niveau politique” d’autant plus qu’à moins de six mois de cette échéance électorale les candidats jugés potentiels ne sont toujours pas connus.
L’absence de transparence politique, au sujet du fort probable président suscite plus de spéculations, qui ne font qu’augmenter le niveau de risque pour l’Algérie, selon les explications de la même société américaine qui relève que la vie politique est “pratiquement gelée”.
Au plan économique, MEA-Risk a plutôt mieux noté l’Algérie en lui attribuant 53 sur 100 pour des raisons évidentes, notamment ses importantes réserves de devises étrangères de près de 200 milliards de dollars (environ 44 mois d’importations), des avoirs en or qui valent environ 7,5 milliards de dollars et une très faible dette extérieure à moins de 3,5 milliards de dollars.
Pour la même société, ces indicateurs économiques font que l’Algérie est en possession de moyens financiers pour résoudre de graves problèmes sociaux, notamment en matière de subvention à la consommation.
Mais cela n’empêche pas que la même situation inquiète les milieux d’affaires eu égard à une inflation élevée, aux procédures d’affaires administratives étouffantes qui freinent l’économie algérienne et la création des postes d’emploi.
Enfin, MEA-Risk prédit un statu-quo pour les trois prochains mois même avec une note actuelle 56,6/100 dans l’analyse des facteurs socio-humains. Mais elle s’attend à des changements susceptibles d’affecter cette stabilité dès le début de l’année 2014 qui coïncideraient avec les intentions réelles des autorités du pays face à la prochaine présidentielle.
source: http://www.algerie360.com
Cela signifie que l’Algérie est au plus haut niveau de stabilité avec un résultat de 50,7 sur une échelle de mesure de 1 à 100. Le contexte de l’avant élection présidentielle de 2014, marqué par un flou, est avancé par cette agence de notation pour tirer ses conclusions précitées.
Toujours selon cette société de suivi, d’analyse et de notation de pays d’Afrique du Nord, du Sahel, d’Afrique Sub-Saharienne et du Moyen-Orient, basée en Amérique du Nord, “l’Algérie est confrontée à une période de transition trouble et sans transparence au niveau politique” d’autant plus qu’à moins de six mois de cette échéance électorale les candidats jugés potentiels ne sont toujours pas connus.
L’absence de transparence politique, au sujet du fort probable président suscite plus de spéculations, qui ne font qu’augmenter le niveau de risque pour l’Algérie, selon les explications de la même société américaine qui relève que la vie politique est “pratiquement gelée”.
Au plan économique, MEA-Risk a plutôt mieux noté l’Algérie en lui attribuant 53 sur 100 pour des raisons évidentes, notamment ses importantes réserves de devises étrangères de près de 200 milliards de dollars (environ 44 mois d’importations), des avoirs en or qui valent environ 7,5 milliards de dollars et une très faible dette extérieure à moins de 3,5 milliards de dollars.
Pour la même société, ces indicateurs économiques font que l’Algérie est en possession de moyens financiers pour résoudre de graves problèmes sociaux, notamment en matière de subvention à la consommation.
Mais cela n’empêche pas que la même situation inquiète les milieux d’affaires eu égard à une inflation élevée, aux procédures d’affaires administratives étouffantes qui freinent l’économie algérienne et la création des postes d’emploi.
Enfin, MEA-Risk prédit un statu-quo pour les trois prochains mois même avec une note actuelle 56,6/100 dans l’analyse des facteurs socio-humains. Mais elle s’attend à des changements susceptibles d’affecter cette stabilité dès le début de l’année 2014 qui coïncideraient avec les intentions réelles des autorités du pays face à la prochaine présidentielle.
source: http://www.algerie360.com
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