Le
tribunal criminel de Tizi Ouzou, a prononcé, mercredi, la peine de 10
ans de prison ferme contre Hessas Djouher, une sexagénaire, reconnue
coupable de “participation à l’assassinat d’un nouveau-né”.
Selon l’arrêt de renvoi de la chambre d’accusation, l’accusée, originaire de la commune de Tizi-Rached (20 km à l’Est de Tizi-Ouzou), qui a été jugée en appel, suite à un pourvoi en cassation introduit par la Cour suprême, a participé, en mars 2009 avec son fils ainé, à un infanticide, dont a été victime un enfant illégitime de sa fille.
Cette dernière, alors âgée de 20 ans et dont la grossesse était arrivée à terme, avait accouché dans une clinique privée, où elle s’était rendue, accompagnée de son frère et de sa mère.
Aussitôt après la naissance du bébé, ils sont rentrés chez eux. Le nouveau-né avait été tué et le frère s’était chargé de l’enterrer dans le jardin.Durant le procès l’accusée a nié les faits retenus contre elle. Le procureur général a requis l’application de la loi.
Lors du procès qui s’était déroulé en première instance en juin 2010, la mère et le fils avaient écopé de 12 ans de réclusion criminelle chacun, tandis que la fille (la mère du nouveau-né) avait été condamnée à 6 ans de prison ferme, puis libérée au bout de 4 années après avoir bénéficié de la grâce présidentielle.
source: algerie1
Selon l’arrêt de renvoi de la chambre d’accusation, l’accusée, originaire de la commune de Tizi-Rached (20 km à l’Est de Tizi-Ouzou), qui a été jugée en appel, suite à un pourvoi en cassation introduit par la Cour suprême, a participé, en mars 2009 avec son fils ainé, à un infanticide, dont a été victime un enfant illégitime de sa fille.
Cette dernière, alors âgée de 20 ans et dont la grossesse était arrivée à terme, avait accouché dans une clinique privée, où elle s’était rendue, accompagnée de son frère et de sa mère.
Aussitôt après la naissance du bébé, ils sont rentrés chez eux. Le nouveau-né avait été tué et le frère s’était chargé de l’enterrer dans le jardin.Durant le procès l’accusée a nié les faits retenus contre elle. Le procureur général a requis l’application de la loi.
Lors du procès qui s’était déroulé en première instance en juin 2010, la mère et le fils avaient écopé de 12 ans de réclusion criminelle chacun, tandis que la fille (la mère du nouveau-né) avait été condamnée à 6 ans de prison ferme, puis libérée au bout de 4 années après avoir bénéficié de la grâce présidentielle.
source: algerie1
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