C’est
dans contexte de violences sociales consécutives à la hausse des taxes
portées sur les transports que la présidence de la République a annoncé
dans la soirée de ce jeudi la démission du premier ministre islamiste
Ali Larayedh.
Reportée
à plusieurs reprises, cette démission, exigée par l’opposition et la
société civile tunisiennes devrait permettre de détendre un climat
politique marqué par la méfiance et la confusion dans une période
déterminante pour la transition où le nouveau premier ministre Mehdi
Jomaa, ancien ministre de l’industrie doit composer un nouveau cabinet
qui élaborera un nouveau code et loi électoral en même temps que
l’assemblée constituante doit s’atteler à la finalisation de l’adoption
de la nouvelle constitution.
Rappelons que l’instance supérieure
indépendante de surveillance des élections à été mise en place ce
mercredi après d’âpres débats.
Malek Yacini
Source: algerie-express.com
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